Bien que les modèles diffèrent, il est très probable qu’à l’échelle mondiale, les chiffres de la mortalité liée à la COVID-19 aient été grandement sous-estimés.
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À l’évidence, une meilleure culture scientifique du public et davantage d’éducation à l’information, ça aiderait. Mais quelle que soit l’intervention, elle atteindra vite ses limites « sans une réforme plus large de l’infrastructure numérique qui crée un terreau fertile pour cette infodémie maligne ».
Tout part d’une étude pré-publiée, c’est-à-dire qui n’a pas encore été révisée par les pairs, où il était fait état de 30 000 patients français qui, en 2020 et 2021, ont reçu de l’hydroxychloroquine et d’autres médicaments contre la COVID.
Une étude compare 115 bébés nés avant la pandémie avec 115 nés de femmes qui ont eu la COVID pendant qu’elles étaient enceintes. Treize de ces derniers bébés n’avaient pas atteint les seuils de développement prévus entre les âges de 6 et 8 mois, contre aucun des bébés « pré-pandémie »
Ce n’est évidemment pas juste le coronavirus qui est en cause. La grippe et le virus respiratoire syncytial, entre autres, profitent aussi d’airs intérieurs mal ventilés.
« Nous savions par des approches populationnelles que les risques systémiques peuvent produire une cascade d’autres évènements et mettre à mal un système et son fonctionnement. »
Au Canada, pour la semaine prenant fin le 2 mai, le nombre de lits aux soins intensifs occupés par des malades de la COVID était de 128.
Le 11 avril, la revue BMC Infectious Diseases annonçait qu’elle retirait l’article, après des semaines d’échanges infructueux entre l’éditeur et l’auteur pour que ce dernier clarifie sa méthodologie.
C’est toutefois encore un peu tôt pour affirmer qu’il s’agit d’une bonne piste pour prédire les complications de la Covid.
Une autre hypothèse pour expliquer la réduction des infections respiratoires pendant la pandémie serait la « compétition » entre les différents virus.