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L’hiver dernier, la métropole du Cap, en Afrique du Sud, faisait face à une telle pénurie d’eau qu’on envisageait d’en couper l’approvisionnement et de rationner la distribution de bouteilles d’eau à ses 4 millions d’habitants. Le Cap a fini par y échapper. Mais qu’arriverait-il si la prochaine victime, dans un pays riche, était non pas une, mais plusieurs grandes villes des États-Unis?

Règle d’or de la science: une étude unique n’est jamais suffisante. Il faut toujours tenter d’avoir une deuxième étude, voire une troisième, pour confirmer une découverte, spécialement une découverte susceptible de bouleverser les connaissances acquises. Mais parfois, ça pose de menus problèmes: ainsi, comment sera-t-il possible de confirmer si des scientifiques viennent bel et bien de découvrir de l’eau sur Mars?

Quatorze années de données satellites révèlent qu’à travers le monde, sur 34 régions-clefs pour l’approvisionnement en eau potable, les tendances, largement à la baisse, peuvent être attribuées à l’humain ou aux changements climatiques dans les deux tiers des cas.

C’est de l’eau « non filtrée, non traitée, non stérilisée ». Appelée aussi de « l’eau crue » (raw water), vendue 37$ pour un contenant de 9 litres (2,5 gallons) dans une boutique de San Francisco. Et pour la modique somme de 15$, vous avez droit à un deuxième remplissage.

La recherche de vie extraterrestre est intimement liée à la découverte d’eau. Deux études récentes appuient l’hypothèse d’un océan souterrain dans un endroit inédit: l’astéroïde Cérès.

De l’orbite, la tache verte est impossible à manquer: plus d’un millier de kilomètres carrés du lac Érié sont à nouveau recouverts d’algues.

Ces dernières années, on a mis beaucoup d’emphase sur l’importance de bien s’hydrater quand on fait du sport: boire avant de ressentir la soif, boire le plus possible… Or, ces préceptes négligent le fait qu’il est possible de trop s’hydrater. À chaque marathon ou événement sportif, des gens par ailleurs actifs et en bonne santé, sont malades d’avoir trop bu.

Le sauvetage en juin d’un jeune béluga près de Nepisiguit, au Nouveau-Brunswick et les efforts considérables pour le relocaliser dans le Saint-Laurent, ont rappelé la précarité de ces mammifères marins. Une récente étude québécoise démontre que malgré 10 ans d’interdiction, un contaminant appelé retardateur de flamme est toujours présent chez les bélugas du Saint-Laurent.

En annonçant la semaine dernière qu’il y a peut-être des tempêtes de neige sur Mars, les planétologues ont en même temps ouvert la porte à une autre explication: comment Mars a-t-elle perdu son eau?

Les efforts effectués par les agriculteurs pour réduire la quantité de fertilisants atteignant les sources d’eau potable peuvent nécessiter des années d’attente avant d’avoir un impact, selon une nouvelle étude de l’Université de Waterloo dont fait état le site internet Phys.org.