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Pandémie oblige, les caméras thermiques ou caméras infrarouges se sont multipliées dans des points d’entrée comme les aéroports et dans divers lieux publics. La fiabilité de ces appareils pour repérer les individus qui ont de la fièvre — et sont donc potentiellement porteurs du fameux virus — est toutefois douteuse. Le Détecteur de rumeurs explique pourquoi.

Détecter des neutrinos émanant de notre Soleil n’était pas une mince tâche. Déjà que ces particules passent à travers la matière — incluant notre planète — à la vitesse de la lumière, encore fallait-il prouver que ces neutrinos arrivent de notre Soleil, et non d’une étoile lointaine.

En physique, l’antimatière est simplement « l’opposé » de la matière. Les particules d’antimatière possèdent la même masse, mais leurs propriétés sont inversées, y compris la charge électrique. Si l’antimatière peut être créée en laboratoire, elle est souvent accompagnée de matière, ce qui entraîne la disparition des deux types de particules et un dégagement d’énergie. Ce qui intrigue, toutefois, c’est que la très grande majorité de l’univers est formé de matière. Pourquoi n’y a-t-il pas de galaxies d’antimatière?

Alors que l’utilisation de la marijuana à des fins récréatives est légale au Canada depuis octobre dernier, et que de plus en plus d’États américains adoptent également des projets de loi en ce sens, les craintes se multiplient lorsque vient le temps d’envisager des solutions pour faire respecter les règles en matière de conduite avec les facultés affaiblies. De nouveaux travaux de recherche de l’Université de Pittsburgh pourraient toutefois changer la donne.

D’une largeur d’à peine 17 à 20 mètres, le météore Chelyabinsk a provoqué d’importants dégâts et fait plusieurs blessés lorsqu’il a explosé en frappant l’atmosphère terrestre, en février 2013. Pour éviter de tels impacts, la chercheuse Amy Mainzer et ses collègues ont utilisé une méthode simple pour détecter ces objets circulant près de la Terre.

En octobre dernier, un objet à la forme bizarre provoquait beaucoup d’émois parmi les astronomes: on considérait jusque-là comme très faible les probabilités de pouvoir un jour observer un tel « visiteur » venu de l’extérieur de notre système solaire. À présent, les plus optimistes parlent d’une « nouvelle ère pour l’astronomie ».