« Les bonobos mâles qui sont plus agressifs obtiennent davantage de copulations avec les femelles, ce qui est quelque chose que nous n’attendions pas. Cela veut dire que les femelles ne choisissent pas nécessairement les mâles plus gentils. »
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Il a été constaté que les participants membres de la classe ouvrière, qui demeuraient souvent dans le même cercle social tout au long de leur vie, soulignaient la solidité des liens tissés en jouant avec les mêmes amis. Cela les encourageait à jouer davantage.
Le type d’évolution qu’ils ont observé sur d’immenses échelles de temps et les types de groupes sociaux, sont très différents de ce qu’on retrouve dans les sociétés humaines.
Qu’un animal domestiqué observe « ses » humains n’étonnera plus les cultivateurs, et les lamas sont domestiqués en Amérique du sud depuis des milliers d’années.
Il y a déjà des années que le comportement plus « pacifique » des bonobos, les plus proches cousins des chimpanzés et de nous-même, suscite l’étonnement.
S’il s’agit bel et bien d’un comportement « transmis » — en d’autres termes, d’un épaulard qui en imite un autre— les hypothèses vont d’un premier épaulard qui, en 2020, aurait été pris dans un filet de pêche et aurait cherché à s’en libérer en attaquant le bateau, à un premier jeune épaulard… qui aurait voulu jouer.
La particularité des goélands, c’est qu’ils ne se contentent pas d’aller fouiller dans les poubelles des humains: ils vont aller voler directement sur une table, ce qui est plus dangereux pour un animal, puisque ça le rend, pendant quelques secondes, vulnérable aux prédateurs.
En vieillissant, les neurones se détériorent inévitablement. Et la détérioration des neurones est l’une des lésions du cerveau associées à la maladie d’Alzheimer.
« Ma recommandation pour les décideurs et les agriculteurs, c’est de tenter de soigner l’anxiété d’abord, ainsi que de renforcer le sentiment d’appartenance des consommateurs à leur communauté. »
« Les difficultés émotionnelles et comportementales ont beaucoup plus augmenté chez les filles de 10 à 15 ans que chez les garçons durant la pandémie de COVID-19. »