Browsing: cerveau

On savait déjà que le perroquet était un animal intelligent. Voilà qu’on lui trouve des caractéristiques génétiques qui, chez nous, sont associées au développement d’un plus large cerveau.

Qu’est-ce qui rend une personne plus susceptible de croire à des fausses nouvelles? Selon une nouvelle recherche, ce serait le fait que cette personne se retrouve dans au moins une de ces trois catégories: « individu enclin aux illusions », dogmatiste ou fondamentaliste religieux. Si cette liste semble relever de l’évidence, c’est l’association entre ces groupes et le concept de fausse nouvelle qui ouvre des perspectives inédites pour les psychologues.

Une théorie dite du cerveau culturel avance une hypothèse pouvant expliquer la croissance extraordinaire de la taille du cerveau des humains et d’autres animaux aux cours des derniers millions d’années, selon une étude publiée dans PLOS Computational Biology par Michael Muthukrishna, de la London School of Economics and Political Science et de l’Université Harvard, en compagnie de collègues de l’Université de la Colombie-Britannique et de Harvard.

Une équipe de chercheurs a découvert les transformations cérébrales qui surviennent lorsque nous passons d’une langue à l’autre; ces conclusions offre un nouvel aperçu des mécaniques à l’oeuvre lorsque vient le temps d’explorer la nature du bilinguisme.

Être obèse rend malade, on le sait : risques accrus de maladies cardiovasculaires et chroniques. Mais l’obésité maltraiterait aussi le cerveau en entraînant une perte de matière grise.

L’accident vasculaire cérébral (AVC) est l’une des premières causes de décès, d’invalidité et de maladie au pays. Chaque année, 62 000 Canadiens en sont victimes et on estime que 405 000 personnes vivent avec les conséquences d’un AVC.

Les médecins n’ont pas bonne presse en ce moment au Québec, entre les augmentations de salaires et les consultations jugées expéditives. Et si on avait sous-estimé un autre facteur: un effritement de l’empathie?

Comme si on n’avait déjà pas assez de motifs d’inquiétudes à cause de notre tendance à écourter nos nuits, voilà que des chercheurs en ajoutent un autre: l’Alzheimer.