Ce que ce dernier rapport du GIEC démontre, c’est qu’agir sur le climat n’est pas limité par un manque de connaissances scientifiques ou d’options technologiques, mais par des structures de pouvoir bien enracinées et par une absence de volonté politique.
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La fumée des incendies ne se rend normalement pas jusqu’à la stratosphère, mais l’ampleur de ces incendies les plaçait dans une catégorie à part.
L’explosion en question a effacé les deux tiers des deux petites îles inhabitées où émergeait le volcan sous-marin.
Si la force de Coriolis est trop faible pour avoir un effet dans une piscine, on peut supposer que c’est encore plus vrai pour la cuvette d’une toilette.
Planter des arbres serait bel et bien efficace contre les changements climatiques.
Une équipe dirigée par des chercheurs de l’Université de Washington vient de fragiliser un peu plus la théorie voulant que des formes de vie aient pu produire des traces de phosphine, un composé chimique qui ne devrait pas se retrouver dans l’atmosphère mortelle de la planète Vénus.
Mars possédait autrefois des océans, mais est aujourd’hui desséchée, ce qui pousse bien des gens à se demander comment l’eau a bien pu disparaître. Des chercheurs de l’Université de l’Arizona ont découvert d’étonnantes quantités d’eau dans la couche supérieure de l’atmosphère de la planète rouge, où elle est rapidement détruite, ce qui expliquerait une partie de ce mystère martien.
Entre les planètes rocheuses où l’on trouve de l’eau, et potentiellement de la vie, comme c’est le cas pour notre monde, la Terre, et celles où l’on trouve des conditions dignes de l’enfer, il y a un pas. Des chercheurs de l’Université McGill, de l’Université de York et de l’Institut indien pour l’enseignement des sciences se sont ainsi penchés sur les conditions prévalant sur l’un de ces mondes infernaux: un « sol » de lave et des pluies de rochers.
On aurait découvert, dans l’atmosphère de la planète Vénus, un indice comme quoi il y aurait de la vie là-bas, ont vibré cette semaine tous les médias et toutes les alertes de réseaux sociaux. Bien que l’annonce soit sérieuse, il subsiste de nombreux bémols, constate le Détecteur de rumeurs.
Une nouvelle technologie de prise de mesures développée à l’Université de Berne, en Allemagne, permet d’obtenir un aperçu inédit sur les conditions climatiques de notre lointain passé. Les concentrations en CO2 qui prévalaient dans l’atmosphère ont pu être reconstituées plus efficacement que jamais auparavant, grâce à mesures effectuées à l’aide de carottes de glace provenant de l’Antarctique. Le résultat de ces travaux publiés dans Science? La vitesse à laquelle nous rejetons ce puissant gaz à effet de serre dans l’atmosphère n’a pas d’équivalent dans l’Histoire. Enfin, pas depuis les 450 000 dernières années.