Anaïs Elboujdaïni répond aux questions de Hugo Prévost sur l’objectivité en temps de conflit, le journalisme de guerre et sur le fait de se retrouver plongée, au hasard, dans la violence et la mort.
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Les résultats des fouilles en Sibérie s’ajoutent à d’autres expéditions, notamment en Anatolie, pour contribuer à une nouvelle vision des notions évolutionnistes selon lesquelles les sociétés se sont développées de façon linéaire, du simple au complexe.
La participation de ces citoyens d’ordinaire moins écoutés et vulnérables économiquement, s’avère indispensable à la pertinence des projets de recherche, selon Janie Houle. « Lorsqu’on élabore les politiques publiques, si on ne les écoute pas, on augmente encore les inégalités. »
Les faussetés prennent souvent la forme de graphiques dont on prétend qu’ils « démontrent » l’inexistence du réchauffement. La plupart du temps, la source n’est pas citée, ou bien il s’agit d’un graphique montrant des dates très soigneusement choisies (en anglais, on parle alors de cherry picking : ne retenir que les données qui nous arrangent).
L’idée de neutraliser la désinformation par des stratégies préventives — soit de « vacciner » contre la désinformation, pour reprendre l’expression de certains chercheurs — a fait l’objet de plusieurs études dans la dernière décennie.
Pierre-Paul Noreau, le président du CPQ, répond aux questions de Hugo Prévost sur le fonctionnement du Conseil, les défis liés aux médias numériques, les enjeux de financement et la question de l’indépendance de l’institution.
« La sphère masculiniste sort des hypothèses de leur contexte et les enchâsse dans leurs doléances, leurs expériences personnelles et leur vision sexiste du monde. »
Pour ajouter à la complexité du portrait, les plus anciens des génomes détectés révèlent que ces chasseurs-cueilleurs auraient eux-mêmes pris la place de populations qui étaient déjà sur place. Ou du moins, qui étaient déjà passées par là.
La mortalité est en hausse, au Canada, bondissant de plus de 7 % entre 2021…
S’il y a un tel manque d’études sur le sujet, c’est parce que les experts du sommeil semblent avoir pris pour acquis que de heurter ce bouton trop souvent était une mauvaise habitude.