On ne peut pas s’empêcher de remarquer que plusieurs des théories du complot des dernières années sont ancrées dans une idéologie très conservatrice, et servent donc bel et bien des intérêts politiques : le déni des changements climatiques et de la gravité de la COVID, l’opposition à l’immigration, etc.
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Sachant que les ainés sont les patients les plus vulnérables à la surmédication, la thérapie comportementale pourrait constituer une option intéressante pour regagner du sommeil chez eux.
Trop souvent dans le passé, des politiques sur la nutrition ont été développées de façon prématurée, pour être remises en question quelques années plus tard, devant l’arrivée de nouvelles données.
Le directeur du Festival international du journalisme de Carleton-sur-mer répond aux questions d’Hugo Prévost à propos de cet événement s’intéressant au travail des reporters d’ici et d’ailleurs, et aux enjeux du métier.
Le Canada, lui, gagne une place, pour se situer en 14e position. RSF note ainsi que le pays « maintient un engagement ferme dans la protection et les pratiques internationales en matière de liberté de la presse », mais que le bât blesse du côté de la couverture médiatique des droits des peuples autochtones.
Les experts ne savent toujours pas comment les vaches américaines ont été infectées et si le virus s’est transmis directement de l’une à l’autre.
De nombreux facteurs causent l’arrêt du traitement, mais l’un d’eux est l’absence de remboursement. En effet, la dose la plus élevée d’Ozempic coûte 400 $ CAN par mois.
À partir de quel seuil une maladie devient-elle assez grave pour qu’on recommande des protections comme un masque N95? Selon les experts, il est essentiel de répondre à ce genre de question.
Prévention, services de proximité et accessibilité des soins: « cela prend des visites dans les milieux de vie, auprès de ceux qui vieillissent et ne peuvent se déplacer. C’est une question de santé globale et d’accompagnement, une responsabilité de la communauté ».
Ces techniques connues des experts en désinformation ne sont toutefois pas nouvelles. Ce sont les mêmes qui ont été utilisées dans le passé pour justifier le racisme, le sexisme ou l’homophobie.