Les agents conversationnels ont un potentiel pour vérifier certaines informations fausses, mais sont limités par les bases de données sur lesquelles ils s’appuient, et par leurs propres tendances à « inventer » des réponses. Même les plus efficaces de ces modèles sont encore loin derrière les vérificateurs humains.
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Ce type de faux journalisme (appelé en anglais pink slime journalism) « submerge et dilue l’écosystème des nouvelles locales avec de l’information de piètre qualité », résumait en janvier 2024 un texte de la Columbia Journalism Review.
Celui qui anime entre autres Zone économie, sur les ondes de RDI, répond aux questions d’Hugo Prévost à propos de l’importance de bien faire comprendre des idées parfois complexes, et sur l’omniprésence des enjeux économiques dans la vie de tous les jours.
Chez les jeunes, aussi, on accorde une importance particulière au fait de se reconnaître dans les positions politiques. Ce sont ainsi 23% des 18 à 29 ans qui se rangent dans cette catégorie, contre 16% des 30-49 ans, 12% des 50 à 64 ans, et seulement 10% chez les aînés.
« Il existe ce paradoxe selon lequel plus le nombre d’informations disponibles est important, plus les gens décident de laisser tomber, parce qu’il devient trop compliqué de tenter d’y voir clair. »
Le directeur du Festival international du journalisme de Carleton-sur-mer répond aux questions d’Hugo Prévost à propos de cet événement s’intéressant au travail des reporters d’ici et d’ailleurs, et aux enjeux du métier.
Le Canada, lui, gagne une place, pour se situer en 14e position. RSF note ainsi que le pays « maintient un engagement ferme dans la protection et les pratiques internationales en matière de liberté de la presse », mais que le bât blesse du côté de la couverture médiatique des droits des peuples autochtones.
Selon les chercheurs, plusieurs élèves ont amélioré leur capacité d’évaluation de la crédibilité des sources d’information et sont devenus en mesure d’expliquer comment ils pouvaient identifier des techniques de manipulations, le tout de façon plus sophistiquée.
Le chroniqueur répond aux questions d’Hugo Prévost à propos de la difficulté de rejoindre les internautes (et ses propres enfants), le fait de donner son opinion en ligne et l’attrait de cette forme de communication très web 1.0.
Que l’écosystème de la désinformation en santé soit lucratif en ligne, en partie grâce à la « monétisation » des contenus que permettent les grandes plateformes, n’est évidemment pas une découverte.