Un peu partout dans le monde, la cause première est toujours la même : la destruction de leurs habitats naturels, suivie par la chasse, les espèces invasives et les changements climatiques.
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Avec plusieurs centaines de millions de personnes affectées, dont seule une minorité a accès à de la climatisation, les autorités craignent un bilan final des décès lui aussi au-dessus de la normale.
Ces données, écrivent les chercheurs, sont en phase avec ce que prévoient les modèles climatiques — c’est-à-dire qu’elles correspondent à ce à quoi on est en droit de s’attendre quand on recherche « l’empreinte » de l’action humaine sur ces courants océaniques.
L’absence d’évolution du dossier a semblé ouvrir la porte à une intervention du gouvernement fédéral, aussi responsable de la protection des espèces en péril.
« Le fait de générer des signatures génétiques pour ces anciens rats noirs révèle à quel point le fonctionnement des populations des humains et des rats noirs sont similaires. »
Alors qu’on sort d’une pandémie, prévient-on, on aurait peut-être intérêt à ne pas sous-estimer l’importance de mieux se préparer à la prochaine…
Il n’en demeure pas moins que l’hypothèse d’un « ensemencement » par des météorites, elle, est prise au sérieux depuis une soixantaine d’années qu’on a découvert deux « briques » fondamentales.
Au total, 65 % des Américains disent que les citoyens devraient en faire plus, que 61 % croient que les élus devraient en faire plus, et que 72 % sont favorables à des règlementations sur les émissions de CO2.
Un groupe de pression américano-britannique, Center for Countering Digital Hate, a identifié un groupe de 12 « super-propagateurs » de fausses nouvelles, tous des humains et non des robots, responsables de 65% des messages antivaccins publiés sur Facebook et Twitter
Il faut d’abord rappeler que la capacité à distinguer le CO2 produit par l’humain de celui produit par la nature existe depuis longtemps.