Browsing: Science

« Il faut continuer à documenter ce qui se passe après les inondations et repenser la coordination des interventions de manière globale, entre tous les intervenants, des ministères impliqués aux assureurs, en passant par les équipes de travail social, afin de mettre en commun l’expertise pour y répondre mieux et plus localement. »

Les océans absorbent une grande partie du CO2 émis par les activités humaines et emprisonnent la chaleur. Mais le prix à payer est une lente hausse de la température des océans et une lente diminution du taux d’oxygène.

Un peu partout dans le monde, la cause première est toujours la même : la destruction de leurs habitats naturels, suivie par la chasse, les espèces invasives et les changements climatiques.

Avec plusieurs centaines de millions de personnes affectées, dont seule une minorité a accès à de la climatisation, les autorités craignent un bilan final des décès lui aussi au-dessus de la normale.

Ces données, écrivent les chercheurs, sont en phase avec ce que prévoient les modèles climatiques — c’est-à-dire qu’elles correspondent à ce à quoi on est en droit de s’attendre quand on recherche « l’empreinte » de l’action humaine sur ces courants océaniques.

L’absence d’évolution du dossier a semblé ouvrir la porte à une intervention du gouvernement fédéral, aussi responsable de la protection des espèces en péril.

Alors qu’on sort d’une pandémie, prévient-on, on aurait peut-être intérêt à ne pas sous-estimer l’importance de mieux se préparer à la prochaine…

Il n’en demeure pas moins que l’hypothèse d’un « ensemencement » par des météorites, elle, est prise au sérieux depuis une soixantaine d’années qu’on a découvert deux « briques » fondamentales.