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Il existe une île qui, dans le Grand Nord canadien, a peut-être battu un record mondial: une augmentation des glissements de terrain de 6000% en 30 ans.

L’empreinte carbone laissée par la production d’un livre imprimé est devenue un argument chez ceux qui défendent le passage aux appareils numériques. Mais d’un autre côté, le bon vieux papier a pour avantage de durer plus longtemps et de pouvoir passer entre plus de mains. Qui dit vrai? Le Détecteur de rumeurs et Unpointcinq, « média de l’action face aux changements climatiques », survolent quatre aspects du problème.

Au cours des derniers 540 millions d’années, la Terre a traversé trois périodes glaciaires importantes, des époques durant lesquelles les températures ont chuté, entraînant l’apparition de vastes banquises et de glaciers qui se sont étendus bien au-delà des pôles. Des chercheurs du MIT, de l’Université de Californie à Santa Barbara et de l’Université de Californie à Berkeley ont identifié le possible élément déclencheur de ces ères glaciaires.

À travers la Chine, d’importants changements ont eu lieu sans que l’on s’en rende compte. Les rizières sont fréquemment remplacées à vitesse grand v par des étangs d’aquaculture pour produire davantage de protéines pour le nombre croissant de gens vivant sur la planète. Cette transformation pourrait avoir un impact inattendu sur le réchauffement climatique.

Au tour des Nations unies de tirer, de nouveau, la sonnette d’alarme sur la crise climatique provoquée par l’activité économique et industrielle humaine: selon David R. Boyd, rapporteur spécial sur les droits de l’homme et l’environnement, l’humanité a déclenché rien de moins que la sixième extinction de masse.

Selon une étude parue le 25 février, la multiplication par trois de la quantité de CO2 dans l’atmosphère — un scénario au-delà des scénarios actuellement les plus pessimistes — aurait pour conséquence de faire disparaître une catégorie de nuages, ce qui exposerait la Terre à davantage de rayonnement solaire, donc accroîtrait le réchauffement, lequel ferait disparaître d’autres nuages, et ainsi de suite.

S’il y a une chose qui rassemble la minorité climatosceptique et la majorité du reste de l’humanité, c’est une difficulté à appréhender la quantité de données que représentent les recherches accumulées depuis 40 ans sur le climat, l’atmosphère et les océans. À partir de combien de recherches, de combien de données, peut-on prétendre en avoir accumulé suffisamment pour pouvoir parler de certitude?