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La 43e campagne électorale fédérale canadienne aura débuté avec des attaques partisanes… et aura pris fin avec des attaques partisanes. Alors que 27 millions de Canadiens sont appelés à s’exprimer, lundi 21 octobre, les deux principaux partis en lice pour former le gouvernement, le Parti libéral (PLC) et le Parti conservateur (PCC), sont nez à nez dans les intentions de vote, après avoir consacré une bonne partie des 41 derniers jours à s’attaquer mutuellement.

Si l’on imagine la politique étrangère comme une partie de golf, le premier ministre du Canada Justin Trudeau s’est contenté de jouer le caddy du président des États-Unis Donald Trump, peut-on déduire de l’analyse des professeurs à l’université Carleton à Ottawa, David Carment et Richard Nimijean dans le Monde diplomatique d’octobre.

Jamais, dans l’histoire des campagnes électorales canadiennes, n’a-t-il autant été question d’environnement. Sans être l’ultime priorité des principaux partis politiques, aucun parti ne peut aujourd’hui se permettre de faire l’impasse sur la question climatique. Tour d’horizon des propositions des principaux partis en la matière.

L’idée d’une semaine de quatre jours continue de gagner des appuis, affirme Alice Martin, chef de la division Travail et Salaire au sein de la New Economics Foundation, un groupe de réflexion britannique, en prévision d’une présentation à la Society 4.0 Conference de l’Université Swinburne, en Australie.

Deux ans après l’entrée en vigueur de l’accord de libre-échange entre le Canada et l’Union européenne, les seuls gagnants sont les exportateurs de pétrole, affirme l’Institut de recherche et d’informations socioéconomiques (IRIS), dans une note de recherche publiée plus tôt cette semaine.

D’un Luc à l’autre: Projet Montréal, au pouvoir à l’hôtel de ville, a sans surprise fait élire son candidat à la mairie de l’arrondissement du Plateau–Mont-Royal, dans le cadre d’une élection partielle marquée par un fort taux d’approbation, mais aussi par un fort taux d’abstention.

La réputation d’Alexandre Boulerice n’est plus à faire. Député de Rosemont–La Petite-Patrie depuis 2011, alors qu’il avait été porté par la vague orange, il a été réélu avec près de 50% des voix en 2015, loin devant ses adversaires de l’époque. Pour sa formation, le Nouveau Parti démocratique (NPD), la ferveur de 2011 semble toutefois moins présente. Rencontre à mi-parcours de la campagne électorale fédérale.

Des gens vivant ou croyant vivre dans une société plus inégale sur le plan économique pourraient être davantage portés à soutenir un leader « fort », voire même autocratique, selon une nouvelle étude menée à l’échelle internationale.