On regrette que la majorité du film repose sur le cliché agaçant de la jeune ado que personne ne prend au sérieux et que personne ne veut écouter. Un peu à l’instar de ces morts qui finissent par toutes se ressembler ou suivre le même procédé, y apportant de la redondance plutôt que de la surprise ou de la créativité.
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Des monstres géants, de l’action à revendre, un brin d’humour, des personnages sympathiques et des dessins sublimes teintés de nostalgie rétro, voici ce qu’offre The Kong Crew, une série ne contenant peut-être pas de message profond, mais que l’on prend plaisir à dévorer de la première à la dernière page tant elle est divertissante.
Sur les planches du Théâtre Denise-Pelletier, Orgueil et préjugés représente une bonne dose de fraîcheur. Une dose de joie et de plaisir qui éclaire une époque hélas particulièrement assombrie. Profitons donc de l’instant présent et, à défaut de régler les problèmes qui nous accablent, rêvons d’une certaine uchronie où des femmes aussi intelligentes que belles peuvent échapper aux carcans sociaux de l’époque victorienne, le temps d’une soirée.
L’oeuvre est proposée de nouveau dans le cadre de Danse Danse, au théâtre Maisonneuve. Monté pour la première fois en 1986, le ballet de danse contemporaine conserve toute son originalité et sa fascination pour le public.
Bien que la question se pose à chaque refonte « en vrai » et que la pertinence s’avère plus notable pour Blanche-Neige, qui a eu droit à toutes les versions imaginables ou presque, on peut comprendre que Disney a une affection particulière pour ce conte, qui est après tout leur premier long-métrage, sorti en 1937.
Embarquez avec Marty et Doc Brown pour visiter le monde futuriste lointain de… l’année 2015.
Oeuvre bigarrée, oeuvre portée par des gens passionnés, mais aussi oeuvre qui semble parfois s’essouffler, Pleurs demeure une étape importante pour ces comédiens et comédiennes qui sont certainement appelés à fouler de nouveau les planches d’ici lors des prochaines années.
Axé bien davantage sur l’action que la magie des Fêtes, Red One ne risque vraiment pas de devenir un classique de Noël, et à part pour punir les enfants qui n’ont pas été sages, il y a peu de raisons de visionner ce film.
Mal adapté, parfois fort mal joué, trop long pour son propre bien, Le sonde d’une nuit d’été, tel que présenté sur les planches du Rideau vert, tient beaucoup plus de la farce grossière que de l’oeuvre finement ciselée. Quel dommage…
Troublante d’actualité, un peu comme Veille sur moi le faisait dans un tout autre contexte, L’indétectable risque certainement d’enflammer de nombreux débats, et susciter de nouvelles craintes.