Ce que ce dernier rapport du GIEC démontre, c’est qu’agir sur le climat n’est pas limité par un manque de connaissances scientifiques ou d’options technologiques, mais par des structures de pouvoir bien enracinées et par une absence de volonté politique.
Auteur/autrice : Agence Science-Presse
Le potentiel destructeur de la pollution, au-delà des pesticides et au-delà des oiseaux — sur les écosystèmes en général — fut une prise de conscience qui eut des retombées politiques immédiates.
Les facteurs-clés derrière une « tendance » caniculaire en Amérique du nord sont moins nombreux qu’on ne l’imagine.
Cette recherche s’inscrit dans une série qui, ces dernières années, a effectivement tenté de décoder ce qu’il y avait de si particulier dans les cerveaux de certains oiseaux —pas juste les corbeaux.
Toutes les questions sur l’avenir des changements climatiques n’ont pas été résolues dans ce 6e rapport — les seuils exacts des « points de bascule » de notre planète sont de gros points d’interrogation.
L’effet des animaux domestiques sur le développement des allergies ou de l’asthme n’est pas aussi bien compris que plusieurs l’imaginent.
Cette forme de « séquençage ancestral » est en train de devenir, écrivent-ils, une partie fondamentale des recherches sur l’évolution de la biologie au niveau moléculaire.
En tout, depuis 2020, au moins 60 études sur des humains ont été autorisées, la plupart ayant rendu, depuis, des résultats défavorables.
Le GIEC n’a pas pour mission de faire des recommandations: il fait une synthèse des connaissances et il présente, sur la base de ces connaissances, une évaluation des bénéfices ou des conséquences qu’auront différents niveaux d’actions.
Les reproches les plus sévères sont adressés au groupe d’experts qui, au printemps 2020, avait été à l’origine de cette stratégie, « basée sur les opinions d’un nombre très limité d’individus ».