L’importance de faire, de diffuser et de partager la recherche scientifique en français, est plus que jamais primordiale, comme l’a montré la crise de la COVID-19.
Auteur/autrice : Agence Science-Presse
Les symptômes à surveiller : jaunisse, diarrhées, vomissements et douleurs abdominales.
Un peu partout dans le monde, la cause première est toujours la même : la destruction de leurs habitats naturels, suivie par la chasse, les espèces invasives et les changements climatiques.
Avec plusieurs centaines de millions de personnes affectées, dont seule une minorité a accès à de la climatisation, les autorités craignent un bilan final des décès lui aussi au-dessus de la normale.
Les femmes qui n’ont pas eu accès à un avortement sont plus à risque d’être en couple avec un partenaire violent, sont 4 fois plus à risque d’être dans un ménage dont le revenu est sous le seuil de pauvreté, et sont 3 fois plus à risque d’être sans emploi.
Ces données, écrivent les chercheurs, sont en phase avec ce que prévoient les modèles climatiques — c’est-à-dire qu’elles correspondent à ce à quoi on est en droit de s’attendre quand on recherche « l’empreinte » de l’action humaine sur ces courants océaniques.
« De nombreux parents préfèrent un mode de vie naturel, consomment des produits alternatifs, et la vaccination n’en fait pas partie. »
L’absence d’évolution du dossier a semblé ouvrir la porte à une intervention du gouvernement fédéral, aussi responsable de la protection des espèces en péril.
Alors qu’on sort d’une pandémie, prévient-on, on aurait peut-être intérêt à ne pas sous-estimer l’importance de mieux se préparer à la prochaine…
Il n’en demeure pas moins que l’hypothèse d’un « ensemencement » par des météorites, elle, est prise au sérieux depuis une soixantaine d’années qu’on a découvert deux « briques » fondamentales.