On peut aussi analyser ce phénomène par l’autre bout de la lorgnette, et y voir une motivation pour améliorer les programmes sociaux ciblant les femmes enceintes.
Auteur/autrice : Agence Science-Presse
Plusieurs fois par année, apparaît un nouveau bilan qui révèle que les estimations précédentes avaient sous-estimé la vitesse de ces changements.
Il est toutefois possible que la bonne fortune approche de sa fin : lorsque les chiffres de 2022 seront publiés, ils intègreront la hausse soudaine des décès causés par la COVID et la grippe au milieu de 2022, pendant ce qui a été l’hiver là-bas — et dont plusieurs médecins craignent. qu’il préfigure l’hiver dans l’hémisphère nord.
Il n’en demeure pas moins que c’est encore une jeune science. Au point où les négociateurs ont du mal à suivre: des recherches récentes pointent du doigt des impacts mesurables — comme le nombre de décès attribués aux canicules — mais les marges d’erreur font que leurs résultats sont ignorés.
Bien que les personnes souffrant d’hypersensibilité électromagnétique expérimentent bel et bien des symptômes invalidants, les études qui existent à ce jour ne permettent pas de conclure que c’est l’exposition aux champs électromagnétiques qui est en cause.
Au Québec tout comme au Canada, il nous manque un portrait complet de la prescription des antibiotiques et de leur utilisation par la population.
Les accusations de détournement de fonds permettent au passage d’en apprendre plus sur les finances d’AFLDS, théoriquement un organisme à but non lucratif. Il apparaît que l’organisme a reçu de ses partisans des dons s’élevant à 10 millions de dollars.
Le fait que des théories du complot soient interconnectées n’est pas, en soi, une découverte : il y a au moins 10 ans que des études en psychologie pointent du doigt le fait qu’une personne qui croit à une telle théorie a plus de chances de croire à une deuxième, voire une troisième théorie.
Un « déménagement » vers Mastodon — alternative souvent citée depuis deux semaines — serait possible pour la communauté scientifique, mais il est loin d’être sûr que le grand public la suivrait.
Mais ce n’est pas une solution permanente, soulignent les chercheurs dans leur article. Ils estiment que le gène modifié finit par disparaître des populations d’insectes après six générations, ou environ six mois.