Cette acrimonie politique se reflète également du côté de la voie à emprunter, selon chaque groupe: autant les républicains que les démocrates veulent que leurs leaders respectifs « tienne tête » à ceux de l’autre camp, plutôt que de travailler en collégialité et de parvenir à des compromis.
Auteur/autrice : Hugo Prévost
Hugo et Chloé examinent comment ce film représente non seulement le « manuel » des ébats sexuels formatés, mais aussi un film féministe et progressiste.
À peine 1 internaute sur 10 dit posséder « une forte littératie » dans le domaine, soit des connaissances particulièrement développées.
Il n’y a rien de fondamentalement mauvais, dans Le Prince. Au contraire, l’oeuvre apporte une bonne dose de rigolade dans un contexte où tout semble aller terriblement mal. Mais au-delà du rire, au-delà des gags des fois franchement étranges, on se demande ce qu’il reste…
Astronomics est certainement un jeu intéressant. Un jeu à plus petite échelle que les géants du genre, mais un jeu avec ses qualités propres et sa façon de faire les choses. Certes, la progression de début de partie peut être particulièrement lente, et les développeurs auraient peut-être avantage à y injecter un peu plus d’excitation, mais pour ceux et celles qui souhaitent explorer (et miner) la galaxie sans trop se casser la tête, c’est un titre tout désigné.
Exercice de style franchement intéressant, surtout pour les cinéphiles qui s’intéressent au monde des médias, mais aussi un rappel de la fragilité des relations internationales et de l’apparente impossibilité de parvenir à la paix, au Proche-Orient, September 5 vaut assurément la peine d’être vu.
Le réalisateur Walter Salles réussit à concentrer, au sein d’une poignée de gens, voire au sein d’une seule femme, toute l’horreur de la dictature qui a terrorisé le Brésil.
Classique indémodable de l’analyse militaire, The Face of Battle a vielli, certes, mais est un ouvrage essentiel pour quiconque veut comprendre les tenants et aboutissants, lorsqu’il est question d’histoire des conflits armés.
Originale, bigarrée, étonnante, l’exposition Joyce Wieland: À coeur battant est la preuve, encore une fois, que l’art peut se décliner sous toutes sortes de formes. Et que, oui, une courtepointe ou un collage de morceaux de plastique peuvent être tout autant de « beaux » arts.
Thriller érotique qui échauffe les sens, ou ratage bourré de clichés qui multiplie les prémisses sans jamais les développer convenablement?