Close Menu
Pieuvre
    Facebook X (Twitter) Instagram
    PieuvrePieuvre
    • Accueil
      • Qui sommes-nous?
      • Travaillez avec nous
      • Work with us
      • Abonnez-vous à l’infolettre
      • Encouragez Pieuvre
      • Nos abonnés
      • Contactez-nous
    • Culturel
      • Festivals
        • Cinémania
        • Fantasia
        • FIFA
        • FIJM
        • FIL
        • FNC
        • FTA
        • Image+Nation
        • OFFTA
        • Montréal complètement cirque
        • Mutek
        • Nuits d’Afrique
        • RIDM
        • RVQC
        • Vues d’Afrique
        • Zoofest
      • Arts visuels
      • Cinéma / Télévision
      • Danse
      • Littérature
        • Romans
        • Essais
        • Bandes dessinées
        • Beaux livres
        • Biographie
        • Poésie
      • Musique
      • Théâtre / Cirque
    • Politique / Économie
      • Politique
      • Économie
      • Afrique
      • Amériques
        • Élections fédérales 2025
      • Asie
      • Europe
      • Moyen-Orient
      • Océanie
    • Science
      • Science
      • Environnement
    • Société
      • Société
      • Médias
      • Santé
      • Vie tentaculaire
      • Jeux de société
      • 45 ans du Stade olympique
    • Techno / Jeux
      • Technologie
        • Séance de test
      • Jeux vidéo
        • Jeux préférés de…
        • Rétroctopode
    • Podcasts
      • Entretiens journalistiques
      • Rembobinage
      • SVGA
      • Pixels et préjugés
      • Heure supplémentaire
      • Des nouvelles de l’Oncle Sam
      • Dans les coulisses de…
    • Encouragez Pieuvre
    Pieuvre
    Accueil»Science»Les colis spatiaux d’Amazon
    Représentation d'artiste de la fusée de ULA sur le point de mettre les 2 satellites en orbite. Source: ULA / Amazon

    Les colis spatiaux d’Amazon

    0
    Par Agence Science-Presse le 10 octobre 2023 Science

    Amazon a envoyé deux objets empaquetés dans un colis trop grand. Ce qui serait une nouvelle banale, si ce n’était que les objets en question sont deux satellites. 

    Vendredi dernier, Amazon, propriété du milliardaire Jeff Bezos, s’est joint à la course aux « constellations » de satellites de communication, à l’instar de son rival SpaceX, propriété du milliardaire Elon Musk. Avec son système Kuiper, Amazon espère en effet concurrencer le système Starlink de SpaceX dans la couverture Internet des régions du monde plus difficiles d’accès. Les deux satellites en question, KuiperSat-1 et KuiperSat-2, ont été lancés par une fusée Atlas V de la compagnie United Launch Alliance (ULA), depuis la base de Cap Canaveral, en Floride. Et dans un communiqué vendredi soir, Amazon disait avoir établi la communication avec ses deux engins en orbite.

    Idéalement, ces deux satellites auraient dû être lancés par une fusée de l’autre compagnie fondée par Jeff Bezos, Blue Origin. Mais son programme de lancement de satellites est de trois ans en retard sur ce qui avait été prévu (ses débuts sont à présent annoncés pour 2024). Il a donc fallu passer un contrat avec ULA, et c’est ce qui explique le problème de taille du « colis ».

    Les KuiperSat feraient —Amazon a été très avare de détails— un peu plus de 500 kilos chacun, ce qui est beaucoup plus petit que la capacité offerte par une fusée Atlas, soit 7000 kilos.

    Ça n’aura aucun impact sur la performance des satellites, mais ça s’inscrit dans une certaine précipitation de la part d’Amazon pour rattraper son retard sur Starlink: en avril 2022, on apprenait que la compagnie de Jeff Bezos avait réservé des lancements sur à peu près tout ce qui était disponible comme fusées — les américaines de ULA et de Blue Origin et les françaises de Arianespace — à l’étrange exception des fusées de SpaceX. Une facture qui pourrait atteindre les 10 milliards de dollars pour 83 lancements dans les cinq prochaines années. Selon les experts, il s’agirait du plus gros contrat du genre de l’histoire des vols spatiaux.

    Jusqu’à récemment, la plupart des satellites de communication étaient sur des orbites dites géostationnaires: à plus de 35 000 km d’altitude, ce qui leur permet de tourner à la même vitesse que la Terre, donc de rester continuellement au-dessus du même point. En comparaison, les satellites moins coûteux dont il est question ici sont placés sur des orbites plus basses (moins de 1000 km) mais doivent du coup être plus nombreux pour que le service puisse couvrir en permanence les différents territoires.

    À l’heure actuelle, Starlink a déjà 4500 de ces satellites en orbite, et c’est ce retard qu’Amazon tente de rattraper: son programme Kuiper est censé compter, à terme, 3286 engins là-haut. Une troisième compagnie, la Britannique OneWeb, en a lancé 650.

    Et avec ces nuées de satellites vient un danger, celui des collisions mortelles dans l’espace. Un simple boulon tournant autour de la Terre à grande vitesse peut détruire un satellite… ou endommager la station spatiale internationale. Plus tôt cette année, la Commission fédérale des communications des États-Unis (FTC) qui autorise les lancements en orbite, a imposé pour la première fois de son histoire une pénalité à une compagnie, Dish Network, pour savoir manqué à sa responsabilité de « désorbiter » (ou envoyer sur une orbite plus basse) un satellite qui était arrivé en fin de vie. En théorie, toutes les compagnies de satellites seraient censé le faire, mais jusqu’à récemment, cette tâche était largement laissée à leur discrétion.

    Abonnez-vous à notre infolettre tentaculaire

    Encouragez-nous pour le prix d’un café

    Partagez Facebook Twitter Pinterest LinkedIn Tumblr Courriel

    Articles similaires

    4 mai 2025

    La maîtrise du feu est inscrite dans nos gènes

    30 avril 2025

    Peut-on roter dans l’espace?

    30 avril 2025

    États-Unis: est-ce le début d’un exode des cerveaux?

    Agence Science-Presse
    • Site web
    • X (Twitter)

    Répondre Annuler la réponse

    Vous cherchez un contenu?
    Abonnez-vous à l’infolettre!

    Suivez-nous
    Dossiers spéciaux
    • Jamais lu
    Nos podcasts
    • Entretiens journalistiques
    • Rembobinage
    • Des nouvelles de l’Oncle Sam
    • SVGA
    • Pixels et préjugés
    • Heure supplémentaire
    • Dans les coulisses de…
    Récemment publié
    Tout s’effondre © Do Phan Hoi
    9 mai 2025

    L’effondrement, façon danse contemporaine

    9 mai 2025

    Après 24 ans, un dernier Jamais lu émouvant pour sa directrice générale

    8 mai 2025

    Une immigration encore importante, au Québec, mais une fécondité au plus bas

    8 mai 2025

    La Voûte #22: Kill Bill, partie 1

    8 mai 2025

    Sommes-nous de plus en plus anxieux? Oui et non

    Informations
    • Votre semaine tentaculaire
    • Qui sommes-nous?
    • Contactez-nous
    © 2009-2025 Pieuvre.ca. Tous droits réservés.

    Tapez ci-dessus et appuyez sur Entrée pour rechercher. Appuyez sur Echap pour annuler.

    Gérez votre confidentialité

    Pour offrir les meilleures expériences, nous et nos partenaires utilisons des technologies telles que les cookies pour stocker et/ou accéder aux informations de l’appareil. Le consentement à ces technologies nous permettra, ainsi qu’à nos partenaires, de traiter des données personnelles telles que le comportement de navigation ou des ID uniques sur ce site et afficher des publicités (non-) personnalisées. Ne pas consentir ou retirer son consentement peut nuire à certaines fonctionnalités et fonctions.

    Cliquez ci-dessous pour accepter ce qui précède ou faites des choix détaillés. Vos choix seront appliqués uniquement à ce site. Vous pouvez modifier vos réglages à tout moment, y compris le retrait de votre consentement, en utilisant les boutons de la politique de cookies, ou en cliquant sur l’onglet de gestion du consentement en bas de l’écran.

    Fonctionnel Toujours activé
    Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’internaute, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
    Préférences
    L’accès ou le stockage technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’internaute.
    Statistiques
    Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
    Marketing
    Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’internautes afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’internaute sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
    Statistiques

    Marketing

    Fonctionnalités
    Toujours activé

    Toujours activé
    Gérer les options Gérer les services Gérer {vendor_count} fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
    Gérer les options
    {title} {title} {title}

    logo

     Ne manquez aucun article ou épisode de podcast: abonnez-vous à l’infolettre!