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    Accueil»Technologie»Jeux vidéo»La merveille chaotique de Distant Worlds 2
    Image tirée du jeu

    La merveille chaotique de Distant Worlds 2

    0
    Par Hugo Prévost le 20 juin 2022 Jeux vidéo

    Il y a quelque chose de beaucoup trop accrocheur dans Distant Worlds 2, la suite du succès de niche des jeux 4X développé par Code Force et publié par l’éditeur Slitherine, 12 ans après la première déclinaison. 

    Mais qu’est-ce que c’est, exactement? Ce n’est sans doute pas cette avalanche de notifications qui, particulièrement en temps de guerre, fera défiler beaucoup trop rapidement autant des alertes que des demandes d’ordres, des annonces galactiques, des questions à propos de votre économie, etc.

    Ce n’est pas, non plus, cette interface parfois étrange, absconse et labyrinthique. Ou encore cet engin graphique (et sans doute statistique, mécanique, etc.) qui peine bien souvent à afficher des milliers de vaisseaux, des centaines de constructions spatiales et certains phénomènes intersidéraux, le tout sans faire en sorte que le jeu semble aussi rapide qu’une vieille imprimante à jet d’encre.

    Quel est le secret de ce succès, alors? Qu’est-ce qui fait en sorte que ce journaliste puisse demeurer, des heures durant, scotché devant son écran, à suivre l’évolution de son empire, au risque de se taper carrément une nuit blanche pour s’assurer que sa civilisation domine les autres, ou du moins finisse une fois pour toutes par éradiquer ce voisin gênant qui est une épine dans le pied depuis les débuts de la partie?

    C’est peut-être cette impression, heureusement renouvelée et plus efficace encore que dans le premier titre de la série, d’être véritablement aux commandes d’un empire stellaire. Il y a bien d’autres titres du genre, notamment Stellaris, mais le jeu de Paradox fait quasiment office d’amateur devant le gigantisme de Distant Worlds 2. Après tout, la taille « normale » d’une galaxie, dans ce jeu, représente 500 étoiles… Qui peuvent comporter chacune plusieurs planètes, des ceintures d’astéroïdes… En fait, ce n’est sans doute pas pour rien qu’en mode normal, à nouveau, il faut commencer par développer son propre système solaire (et rechercher la technologie de la propulsion hyperspatiale) avant de s’élancer à la conquête des cieux.

    Autre particularité, les échanges commerciaux, intérieurs comme extérieurs, sont représentés par une économie privée, qui dispose de ses propres vaisseaux cargos, vaisseaux qui vont bel et bien voyager entre les divers coins de votre empire, ainsi que visiter vos voisins plus ou moins éloignés. Ce sera d’ailleurs pour eux que le joueur sera appelé à construire quantité de stations minières, qui fourniront non seulement les matériaux nécessaires à la fabrication de stations spatiales et de vaisseaux « gouvernementaux », mais qui alimenteront aussi cette économie privée. À son tour, cette dernière versera une partie de ses profits au Trésor public, qui pourra alors financer son fonctionnement.

    Si près… et si loin

    En fait, la leçon de Distant Worlds 2 est celle de l’impossibilité de tout saisir, tout comprendre, tout contrôler. Bien entendu, il est absolument possible de placer toutes ses flottes de guerre en mode manuel, de décider expressément où les vaisseaux de construction bâtiront leurs stations, de choisir les astres à analyser à l’aide d’engins d’exploration. Mais seuls les obsessifs (et encore, les obsessifs disposant de beaucoup, beaucoup de temps) oseraient se lancer dans un tel procédé.

    Pour les joueurs normaux, l’idée consiste à laisser l’ordinateur décider pour soi. Heureusement, cela se fait généralement sans heurts, mais cette intelligence artificielle n’est certainement pas omnisciente. Le choix des technologies à rechercher, par exemple, poussera souvent le joueur à prendre ses propres décisions, histoire de débloquer une progression jugée nécessaire, notamment en ce qui concerne le fonctionnement de l’économie.

    Idem pour les missions et autres décisions proposées par ce conseiller électronique : on peut facilement comprendre pourquoi on nous propose de construire un centre administratif sur l’une de nos planètes, par exemple, mais pourquoi nous offrir de déclarer la guerre à l’un de nos voisins, sans donner plus d’explications? Pourquoi nous suggère-t-on, ainsi, en l’espace de quelques secondes, d’envoyer plusieurs flottes, s’occuper d’un même problème? Pourquoi devrait-on, en pleine guerre, dépêcher des vaisseaux beaucoup plus faibles pour s’attaquer à une cible beaucoup plus puissante? Un semblant d’explication serait particulièrement apprécié de la part de cette IA qui peut finir par contrôler la quasi-totalité du fonctionnement d’un empire regroupant des dizaines de planètes et plus d’une centaine de milliards d’habitants.

    Et pourtant… et pourtant, Distant Worlds 2 est fascinant, intrigant, surprenant. On apprécierait certainement des correctifs, et peut-être une meilleure prise en main – du moins, une prise en main qui n’implique pas de nous lancer, en quelque sorte, dans le vide intersidéral, en espérant que l’on comprenne suffisamment les bases pour être en mesure de se débrouiller.

    Mais autrement, ce 4X est probablement, malgré toutes ses imperfections, l’un des meilleurs exemples du genre. À découvrir lentement, mais assurément.

    Distant Worlds 2

    Développeur: CodeForce

    Éditeur: Slitherine

    Plateforme: Windows (testé sur Steam)

    Jeu non disponible en français

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    Hugo Prévost
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    Cofondateur et rédacteur en chef de Pieuvre.ca, Hugo Prévost se passionne pour le journalisme depuis l'enfance. S'il s'intéresse surtout à la politique, à la science, à la technologie et à la culture, Hugo n'hésite pas non plus à plonger tête première dans les enjeux de société, l'économie ou encore les loisirs et le tourisme.

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