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    Pousser plus avant une relation, plutôt que d’y mettre un terme

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    Par Pieuvre.ca le 5 août 2021 Société

    Lorsqu’il s’agit de prendre des décisions à propos de l’avenir d’une relation amoureuse, les gens sont généralement davantage portés à faire progresser ladite relation vers l’étape suivante, plutôt que d’y mettre fin, selon une nouvelle étude publiée par une chercheuse de l’Université Western Ontario, Samantha Joel.

    Ces décisions favorables au maintien des relations, dit-elle, favorisent l’initiation, la progression et le maintien des connexions romantiques, par rapport aux décisions qui entraînent l’enlisement ou la fin des relations.

    Dans des travaux publiés dans Personality and Social Psychology Review, Mme Joel et son coauteur Geoff MacDonald, de l’Université de Toronto, ont effectué un examen de la littérature scientifique portant sur la prise de décision dans le contexte d’une relation amoureuse. À travers une série de domaines comme la psychologie sociale, la sociologie, les études sur la famille, ainsi que l’économie comportementale, les chercheurs ont constaté qu’il existait des preuves d’un « biais de progression », qui est une tendance à prendre des décisions qui font progresser des relations amoureuses.

    Accroître l’investissement et l’engagement envers un partenaire amoureux semble relativement facile et simple, tandis que les décisions suspendant ou mettant fin à des relations semblent difficiles et pénibles. Cela signifie qu’il semble plus aisé de s’engager que de retirer ses billes d’une relation, du moins à court terme. Ce biais de progression peut aider des gens à passer au travers de difficultés présentes dans des relations amoureuses, mais cela peut aussi faire en sorte que des gens demeurent au sein de relations qui ne sont pas nécessairement positives.

    Les deux chercheurs affirment que l’évolution et les normes culturelles sont responsables de cette tendance à être attiré vers cette tendance à s’investir davantage dans une relation amoureuse.

    Selon Mme Joel, l’évolution pourrait avoir contribué au biais de progression, en raison du fait que pour nos ancêtres, qui n’avaient pas autant de choix en matière de partenaires que nous en avons aujourd’hui, le fait de partager sa vie avec quelqu’un pouvait être plus important que d’être en couple avec la personne « idéale ». Ainsi, les gens qui attendaient le partenaire parfait et qui « rataient leur chance » étaient moins en mesure de transmettre leurs gênes à leurs descendants.

    « S’assurer d’être en couple a pu être plus important, pour la survie de l’espèce, que l’idée de faire la fine bouche et de trouver le compagnon parfait », soutient-elle.

    Des critères inutiles?

    Les deux spécialistes ont ainsi évoqué une précédente étude effectuée à l’aide de 10 000 participants à des séances de speed dating qui porte à croire que les gens sont ouverts à l’idée de fréquenter une vaste gamme de partenaires amoureux. Les participants ont dit oui à 40% de leurs options en la matière, en moyenne (34% pour les femmes, 49% chez les hommes).

    Dans une autre précédente étude, cette fois dirigée par Mme Joel, les participants ont été emmenés au laboratoire et y ont parcouru des profils de gens à la recherche d’une relation. On leur a expliqué que leurs partenaires potentiels possédaient tous au moins un trait jugé spécifiquement indésirable par ces participants. Lorsque ces derniers étaient convaincus qu’ils s’agissaient d’une véritable occasion de rencontrer une autre personne, 74% d’entre eux ont malgré tout accepté de fréquenter le partenaire au trait de personnalité indésirable, malgré tout.

    Ainsi, le biais de progression pourrait avoir convaincu les participants le « tiens » plutôt que les « deux tu l’auras ».

    Il existe aussi des normes culturelles établies depuis belle lurette et des pressions sociales visant à pousser les célibataires vers des relations qui, au mieux, ne correspondent plus aux critères contemporains.

    « Nous subissons beaucoup de pression sociétale pour être en couple. Et il existe de nombreux travaux sur la façon dont le célibat est stigmatisé », soutient Mme Joel. « Il existe aussi des avantages sociaux, sans égard à l’identité de votre partenaire. Culturellement, être en couple signifie être considéré comme formant une unité social légitime. »

    Cela pourrait aussi expliquer pourquoi les célibataires semblent être ouverts à l’idée de fréquenter un vaste groupe de partenaires, poursuit la professeure de psychologie, puisque de nombreuses personnes sont motivées à considérer de potentiels partenaires sous un bon jour. À un point tel, en fait, qu’ils passeront outre des failles potentielles et des incompatibilités. Si vous êtes motivé à être en couple afin de cocher une case sociale, la plupart des partenaires potentiels suffiront à remplir ce rôle.

    D’autres études évaluées par le duo de chercheurs ont révélé que les gens ont tendances à s’investir rapidement dans de nouvelles relations. Dans le cadre de l’une de ces études, qui rassemblait 122 personnes vivant avec leur partenaire, 36% d’entre eux avaient déménagé avec l’être cher dans les six mois suivant le début des fréquentations. Une autre étude a mis au jour le fait que les participants tendent à s’attacher profondément à un nouveau partenaire amoureux dans les trois mois suivant le début de la relation.

    « Souvent, quand vous finissez par vous rendre compte que votre partenaire possède des traits de caractères ou des objectifs de vie qui sont incompatibles avec les vôtres, vous vous êtes déjà largement investi dans la relation. À ce moment-là, il est beaucoup plus difficile de mettre fin à tout cela », rappelle Mme Joel.

    « Nous n’aimons pas gaspiller notre temps et notre énergie, et les relations exigent tout cela en grandes quantités. Y mettre fin nécessite des efforts supplémentaires. Nous avons vraiment l’impression d’y perdre au change, rendu là. »

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