Close Menu
Pieuvre
    Facebook X (Twitter) Instagram
    PieuvrePieuvre
    • Accueil
      • Qui sommes-nous?
      • Travaillez avec nous
      • Work with us
      • Abonnez-vous à l’infolettre
      • Encouragez Pieuvre
      • Nos abonnés
      • Contactez-nous
    • Culturel
      • Festivals
        • Cinémania
        • Fantasia
        • FIFA
        • FIJM
        • FIL
        • FNC
        • FTA
        • Image+Nation
        • OFFTA
        • Montréal complètement cirque
        • Mutek
        • Nuits d’Afrique
        • RIDM
        • RVQC
        • Vues d’Afrique
        • Zoofest
      • Arts visuels
      • Cinéma / Télévision
      • Danse
      • Littérature
        • Romans
        • Essais
        • Bandes dessinées
        • Beaux livres
        • Biographie
        • Poésie
      • Musique
      • Théâtre / Cirque
    • Politique / Économie
      • Politique
      • Économie
      • Afrique
      • Amériques
        • Élections fédérales 2025
      • Asie
      • Europe
      • Moyen-Orient
      • Océanie
    • Science
      • Science
      • Environnement
    • Société
      • Société
      • Médias
      • Santé
      • Vie tentaculaire
      • Jeux de société
      • 45 ans du Stade olympique
    • Techno / Jeux
      • Technologie
        • Séance de test
      • Jeux vidéo
        • Jeux préférés de…
        • Rétroctopode
    • Podcasts
      • Entretiens journalistiques
      • Rembobinage
      • SVGA
      • Pixels et préjugés
      • Heure supplémentaire
      • Des nouvelles de l’Oncle Sam
      • Dans les coulisses de…
    • Encouragez Pieuvre
    Pieuvre
    Accueil»Culturel»Cinéma / Télévision»The Mitchells vs The Machines: amour filial et patentes connectées
    Image tirée du film

    The Mitchells vs The Machines: amour filial et patentes connectées

    0
    Par Hugo Prévost le 7 mai 2021 Cinéma / Télévision

    Les films d’animation occidentaux sont généralement conservateurs. Pas dans le sens des valeurs véhiculées (quoique…), mais plutôt du côté de leur style. On se permet évidemment quelques fioritures, ici et là, mais même des bijoux comme The Lego Movie s’en tiennent habituellement à un style d’animation – très bien exploité, certes – restreint par certaines règles. The Mitchells vs The Machines, récemment lancé sur Netflix, jette largement ces règles par la fenêtre et offre deux heures de délire que l’on accueille avec grand bonheur.

    À l’instar d’Into the Spiderverse, qui est non seulement probablement le meilleur film de l’univers Spider-Man, mais aussi l’un des plus grands films d’animation des dernières années, notamment sur le plan stylistique, The Mitchells vs The Machines propose un scénario relativement simple et connu (les membres d’une famille doivent surmonter un obstacle important et, dans la foulée, resserrer leurs liens affectifs passablement distendus avec les années), mais c’est vraiment du côté des clins d’oeil, blagues et autres moments de pur chaos que le long-métrage séduit.

    Il n’est d’ailleurs pas étonnant que ce soit la même équipe qui produise les deux films d’animation. La même qualité, le même souci du détail est au rendez-vous, pour le plus grand plaisir des cinéphiles.

    Kate, donc, adolescente (ou jeune adulte?) à l’imagination débordante, envisage de quitter le nid familial pour traverser les États-Unis et étudier le cinéma en Californie. Ce faisant, elle abandonnerait derrière elle une relation dysfonctionnelle avec son père, un amateur de la nature et du « gros bon sens » qui ne comprend décidément pas grand-chose aux inspirations cinématographiques de sa fille, et encore moins à toute cette technologie qu’elle utilise pour créer ses oeuvres.

    La mère, elle, assiste impuissante à cette lente désintégration, tandis que le petit frère, Aaron, un rêveur gêné qui se passionne pour les dinosaures, a bien peur de perdre sa meilleure amie.

    Parallèlement à cela, le grand patron d’un empire technologique lance une gamme de robots devant remplacer un assistant personnel déjà omniprésent dans la quasi-totalité des appareils électroniques. Sans grande surprise, les robots se révoltent sous l’impulsion dudit assistant, joué par nulle autre qu’Olivia Colman, qui s’estime trahie par son créateur.

    Pour échapper à une tentative de se débarrasser de tous les humains, la famille Mitchell devra surmonter quantité d’obstacles, mais aussi apprendre à travailler de concert, dans l’exécution d’un concept qui a fait ses preuves.

    Ce qui fait de ce film un long-métrage à part des autres, c’est cette propension à tomber dans l’exagération, mais sans jamais franchir la limite du ridicule. Tout y passe: superposition de couleurs et d’images, gags tout aussi courts qu’efficaces, ou encore des délires complets, comme ce Furby géant qui s’exclame « L’heure de la grande noirceur est venue! » en cherchant à tuer nos personnages principaux.

    Avec un savant mélange de blagues pour enfants et de gags destinés aux plus vieux, les scénaristes de The Mitchells vs The Machines ont bien compris qu’il créaient un film pour toute la famille. Cela ne les a heureusement pas empêchés de sortir des codes traditionnels du genre et d’en repousser les limites.

    The Mitchells vs The Machines n’est pas nécessairement un film « parfait », mais il s’agit certainement d’un excellent long-métrage qui saura plaire à bien des gens, et pas seulement aux critiques cinéma rendus aigris par des années de travail et plus de 365 jours de pandémie.

    Abonnez-vous à l’infolettre!

    Encouragez Pieuvre.ca


    Rembobinage #34: Nomadland

    Partagez Facebook Twitter Pinterest LinkedIn Tumblr Courriel

    Articles similaires

    8 mai 2025

    La Voûte #22: Kill Bill, partie 1

    8 mai 2025

    L’été s’invite plus tôt avec la troisième saison de Premier trio

    6 mai 2025

    Rembobinage #167: Bonjour tristesse

    Hugo Prévost
    • Facebook
    • X (Twitter)

    Cofondateur et rédacteur en chef de Pieuvre.ca, Hugo Prévost se passionne pour le journalisme depuis l'enfance. S'il s'intéresse surtout à la politique, à la science, à la technologie et à la culture, Hugo n'hésite pas non plus à plonger tête première dans les enjeux de société, l'économie ou encore les loisirs et le tourisme.

    Répondre Annuler la réponse

    Vous cherchez un contenu?
    Abonnez-vous à l’infolettre!

    Suivez-nous
    Dossiers spéciaux
    • Jamais lu
    Nos podcasts
    • Entretiens journalistiques
    • Rembobinage
    • Des nouvelles de l’Oncle Sam
    • SVGA
    • Pixels et préjugés
    • Heure supplémentaire
    • Dans les coulisses de…
    Récemment publié
    9 mai 2025

    Après 24 ans, un dernier Jamais lu émouvant pour sa directrice générale

    8 mai 2025

    Une immigration encore importante, au Québec, mais une fécondité au plus bas

    8 mai 2025

    La Voûte #22: Kill Bill, partie 1

    8 mai 2025

    Sommes-nous de plus en plus anxieux? Oui et non

    8 mai 2025

    ChatGPT n’a pas réussi à prédire le nom du nouveau pape

    Informations
    • Votre semaine tentaculaire
    • Qui sommes-nous?
    • Contactez-nous
    © 2009-2025 Pieuvre.ca. Tous droits réservés.

    Tapez ci-dessus et appuyez sur Entrée pour rechercher. Appuyez sur Echap pour annuler.

    Gérez votre confidentialité

    Pour offrir les meilleures expériences, nous et nos partenaires utilisons des technologies telles que les cookies pour stocker et/ou accéder aux informations de l’appareil. Le consentement à ces technologies nous permettra, ainsi qu’à nos partenaires, de traiter des données personnelles telles que le comportement de navigation ou des ID uniques sur ce site et afficher des publicités (non-) personnalisées. Ne pas consentir ou retirer son consentement peut nuire à certaines fonctionnalités et fonctions.

    Cliquez ci-dessous pour accepter ce qui précède ou faites des choix détaillés. Vos choix seront appliqués uniquement à ce site. Vous pouvez modifier vos réglages à tout moment, y compris le retrait de votre consentement, en utilisant les boutons de la politique de cookies, ou en cliquant sur l’onglet de gestion du consentement en bas de l’écran.

    Fonctionnel Toujours activé
    Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’internaute, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
    Préférences
    L’accès ou le stockage technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’internaute.
    Statistiques
    Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
    Marketing
    Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’internautes afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’internaute sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
    Statistiques

    Marketing

    Fonctionnalités
    Toujours activé

    Toujours activé
    Gérer les options Gérer les services Gérer {vendor_count} fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
    Gérer les options
    {title} {title} {title}

    logo

     Ne manquez aucun article ou épisode de podcast: abonnez-vous à l’infolettre!