Close Menu
Pieuvre
    Facebook X (Twitter) Instagram
    PieuvrePieuvre
    • Accueil
      • Qui sommes-nous?
      • Travaillez avec nous
      • Work with us
      • Abonnez-vous à l’infolettre
      • Encouragez Pieuvre
      • Nos abonnés
      • Contactez-nous
    • Culturel
      • Festivals
        • Cinémania
        • Fantasia
        • FIFA
        • FIJM
        • FIL
        • FNC
        • FTA
        • Image+Nation
        • OFFTA
        • Montréal complètement cirque
        • Mutek
        • Nuits d’Afrique
        • RIDM
        • RVQC
        • Vues d’Afrique
        • Zoofest
      • Arts visuels
      • Cinéma / Télévision
      • Danse
      • Littérature
        • Romans
        • Essais
        • Bandes dessinées
        • Beaux livres
        • Biographie
        • Poésie
      • Musique
      • Théâtre / Cirque
    • Politique / Économie
      • Politique
      • Économie
      • Afrique
      • Amériques
        • Élections fédérales 2025
      • Asie
      • Europe
      • Moyen-Orient
      • Océanie
    • Science
      • Science
      • Environnement
    • Société
      • Société
      • Médias
      • Santé
      • Vie tentaculaire
      • Jeux de société
      • 45 ans du Stade olympique
    • Techno / Jeux
      • Technologie
        • Séance de test
      • Jeux vidéo
        • Jeux préférés de…
        • Rétroctopode
    • Podcasts
      • Entretiens journalistiques
      • Rembobinage
      • SVGA
      • Pixels et préjugés
      • Heure supplémentaire
      • Des nouvelles de l’Oncle Sam
      • Dans les coulisses de…
    • Encouragez Pieuvre
    Pieuvre
    Accueil»Technologie»L’IA, une conseillère scientifique?
    Les intelligences artificielles seront-elles amenées à conseiller les gouvernements, surtout lorsque le temps presse?

    L’IA, une conseillère scientifique?

    0
    Par Agence Science-Presse le 28 septembre 2023 Technologie

    Elle serait excellente pour résumer des preuves scientifiques à l’intention des politiciens. Mais il serait délicat de la laisser aller sans supervision humaine. Pour ou contre une IA comme conseillère scientifique des premiers ministres et des présidents?

    On a abondamment discuté de la possibilité que l’IA aide à diagnostiquer des maladies ou à découvrir des exoplanètes, avec sa capacité à traiter en un temps record d’immenses bases de données. Mais la politique scientifique est un secteur qui avait échappé aux futurologues.

    La revue Nature publie justement cette semaine une série d’articles sur les différentes façons par lesquelles l’IA pourrait changer la façon dont se construit la science. En fait, des domaines où elle apporte d’ores et déjà des changements: la recherche sur les protéines, les prévisions météorologiques, qui ont pour caractéristique d’être appuyés sur un immense ensemble de données.

    Or, dans un commentaire qui accompagne cette série d’articles, neuf auteurs de divers horizons rappellent qu’une des tâches des conseillers scientifiques est justement de plonger dans d’immenses ensembles de données pour en faire un tri. « Des batteries jusqu’à la résistance aux antibiotiques en passant par l’exploitation minière en eaux profondes, les conseillers scientifiques doivent habilement naviguer dans un vaste ensemble d’informations. Ils doivent fouiller dans des millions d’études scientifiques publiées chaque année, tout en prenant en considération les rapports de groupes de pression, de l’industrie ou d’associations scientifiques. Les conseillers doivent travailler rapidement. Produire des résumés politiques dans un délai de semaines, de jours ou même d’heures, est une tâche intimidante. Et les pressions des gouvernements pour produire et utiliser de telles informations sont croissantes. »

    Utile, mais…

    À l’évidence, un robot pourrait donc s’avérer utile. Mais puisqu’il s’agirait d’aider à prendre des décisions politiques, des enjeux délicats s’ajoutent: les « conseils » de l’IA pourraient-ils être influencés par les intentions de ceux qui l’ont programmée? Pourraient-ils carrément être contaminés par de la désinformation « présentée avec une apparence scientifique »? Éviter une telle « contamination » des données —par un trop grand nombre d’études prépubliées, par exemple, qui contiendraient toutes le même biais— « pourrait nécessiter une plus grande surveillance et une compréhension des processus » par lesquels l’IA est « entraînée » à utiliser les données.

    Sous peu, disent ces neuf professeurs de quatre pays, une nouvelle génération d’agents conversationnels inspirés par ChatGPT, pourrait être mise à la tâche. Mais il faudra que les institutions scientifiques « créent des lignes directrices et considèrent avec soin la conception et l’usage responsable de cette technologie émergente ».

    Ils voient deux domaines où ce type d’IA pourrait servir: accélérer l’écriture de synthèses de la littérature scientifique et préparer le premier brouillon d’une futur document d’information. Dans le premier cas, ça ne s’applique pas qu’aux conseillers scientifiques. Beaucoup de chercheurs qui pondent des « revues systématiques » — qui sont de telles synthèses de la littérature— pourraient confier la première phase du travail à un tel robot, c’est-à-dire résumer de vastes groupes de textes. Par contre, dès qu’on s’écarte du résumé général, et qu’on doit par exemple pointer ce que sont les domaines émergents de recherche, une intervention humaine s’avère indispensable. À plus forte raison, s’il faut tirer une conclusion ou une interprétation.

    Un autre bémol concerne le deuxième domaine, la préparation d’un futur document d’information: l’IA est incapable d’évaluer la crédibilité d’une source (on en a eu plusieurs exemples dans la dernière année). Même lorsqu’on croit avoir des critères, comme le facteur d’impact d’une publication ou le nombre de citations d’une recherche, le poids à accorder à chacun de ces critères diffère d’un sujet à l’autre. Il faudra donc s’entendre sur des normes pour définir la « qualité de la recherche » avant qu’une telle tâche puisse être assumée par l’IA — un obstacle « significatif », reconnaissent pudiquement les neuf auteurs.

    Abonnez-vous à notre infolettre tentaculaire

    Encouragez-nous pour le prix d’un café

    Partagez Facebook Twitter Pinterest LinkedIn Tumblr Courriel

    Articles similaires

    8 mai 2025

    ChatGPT n’a pas réussi à prédire le nom du nouveau pape

    6 mai 2025

    L’IA raisonne-t-elle aussi mal que les humains?

    1 mai 2025

    Face à des étudiants, ChatGPT a encore des croûtes à manger

    Agence Science-Presse
    • Site web
    • X (Twitter)

    Répondre Annuler la réponse

    Vous cherchez un contenu?
    Abonnez-vous à l’infolettre!

    Suivez-nous
    Dossiers spéciaux
    • Jamais lu
    Nos podcasts
    • Entretiens journalistiques
    • Rembobinage
    • Des nouvelles de l’Oncle Sam
    • SVGA
    • Pixels et préjugés
    • Heure supplémentaire
    • Dans les coulisses de…
    Récemment publié
    8 mai 2025

    Une immigration encore importante, au Québec, mais une fécondité au plus bas

    8 mai 2025

    La Voûte #22: Kill Bill, partie 1

    8 mai 2025

    Sommes-nous de plus en plus anxieux? Oui et non

    8 mai 2025

    ChatGPT n’a pas réussi à prédire le nom du nouveau pape

    8 mai 2025

    L’été s’invite plus tôt avec la troisième saison de Premier trio

    Informations
    • Votre semaine tentaculaire
    • Qui sommes-nous?
    • Contactez-nous
    © 2009-2025 Pieuvre.ca. Tous droits réservés.

    Tapez ci-dessus et appuyez sur Entrée pour rechercher. Appuyez sur Echap pour annuler.

    Gérez votre confidentialité

    Pour offrir les meilleures expériences, nous et nos partenaires utilisons des technologies telles que les cookies pour stocker et/ou accéder aux informations de l’appareil. Le consentement à ces technologies nous permettra, ainsi qu’à nos partenaires, de traiter des données personnelles telles que le comportement de navigation ou des ID uniques sur ce site et afficher des publicités (non-) personnalisées. Ne pas consentir ou retirer son consentement peut nuire à certaines fonctionnalités et fonctions.

    Cliquez ci-dessous pour accepter ce qui précède ou faites des choix détaillés. Vos choix seront appliqués uniquement à ce site. Vous pouvez modifier vos réglages à tout moment, y compris le retrait de votre consentement, en utilisant les boutons de la politique de cookies, ou en cliquant sur l’onglet de gestion du consentement en bas de l’écran.

    Fonctionnel Toujours activé
    Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’internaute, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
    Préférences
    L’accès ou le stockage technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’internaute.
    Statistiques
    Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
    Marketing
    Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’internautes afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’internaute sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
    Statistiques

    Marketing

    Fonctionnalités
    Toujours activé

    Toujours activé
    Gérer les options Gérer les services Gérer {vendor_count} fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
    Gérer les options
    {title} {title} {title}

    logo

     Ne manquez aucun article ou épisode de podcast: abonnez-vous à l’infolettre!