Pieuvre.ca
    Facebook Twitter Instagram
    Pieuvre.ca
    • Accueil
      • Notre équipe
      • La réplique
      • Annoncez sur Pieuvre.ca / Advertise at Pieuvre.ca
      • Votre semaine tentaculaire
      • Contactez-nous
      • Fil de presse fourni par Cision – Français
      • Newswire provided by Cision – English
    • Culturel
      • Arts visuels
      • Cinéma / Télévision
      • Danse
      • Littérature
        • Romans
        • Essais
        • Bandes dessinées
        • Beaux livres
        • Poésie
      • Musique
      • Théâtre / Cirque
      • Festivals
        • Cinémania
        • Fantasia
        • FIFA
        • FNC
        • FTA
        • OFFTA
        • Montréal complètement cirque
        • Mutek
        • RIDM
        • RVQC
        • Vues d’Afrique
        • Zoofest
    • Politique / Économie
      • Politique
      • Économie
      • Afrique
      • Amériques
        • Élections fédérales 2021
        • Maison-Blanche 2020
        • Élections fédérales 2019
      • Asie
      • Europe
        • Présidentielle française 2022
      • Moyen-Orient
    • Science
      • Science
      • Environnement
    • Société
      • Société
      • Médias
      • Santé
      • Vie tentaculaire
      • Jeux de société
      • 45 ans du Stade olympique
    • Techno / Jeux
      • Technologie
        • Séance de test
      • Jeux vidéo
        • Rétroctopode
        • Jeux préférés de…
    • Podcasts
      • Entretiens journalistiques
      • Rembobinage
      • SVGA
      • Pixels et préjugés
      • Heure supplémentaire
    • Dons
    Pieuvre.ca
    Accueil»Science»Environnement»La colonie disparue des manchots empereurs
    Les manchots empereurs seraient particulièrement vulnérables aux transformations climatiques, estiment les chercheurs.

    La colonie disparue des manchots empereurs

    1
    Par Agence Science-Presse le 29 avril 2019 Environnement

    On a l’habitude d’imaginer que le Manchot empereur, ce « pingouin » de l’Antarctique, est l’animal le plus résistant du monde, considérant les conditions climatiques extrêmes auxquelles il est exposé. Or, il semblerait que la deuxième plus grosse colonie du continent ait été dévastée en un temps record par une « catastrophe démographique ».

    Pas moins de 10 000 petits sont en effet morts en 2016 — pour un groupe qui comptait entre 14 000 et 25 000 couples reproducteurs par année. Cet hiver-là, rapporte une étude parue jeudi dans la revue Antarctic Science, la glace annuelle recouvrant le « site Hadley », sur la Mer de Weddell, s’était rompue particulièrement vite. Une rupture associée à des tempêtes fortes quelques mois plus tôt, à une année El Nino et à un record à la baisse de la surface maritime recouverte par la glace. L’étude ne dit pas pourquoi ces conditions ont pu provoquer pareille hécatombe chez les jeunes, mais il est certain qu’avant un certain âge, un jeune manchot est incapable de survivre dans l’eau glaciale.

    Les chercheurs notent également que depuis trois ans, la glace n’est pas revenue à ce qu’elle était avant. Et les images satellites des années subséquentes montrent l’absence presque totale de manchots sur ce site de reproduction qu’ils utilisaient pourtant depuis 60 ans. Certains se sont peut-être joints à la colonie Dawson-Lambton, à 55 km plus au nord, dont la population a augmenté.

    La colonie du site Hadley représentait 9% de la population totale des manchots empereurs. Mieux comprendre ce qu’elle est devenue permettrait d’en apprendre davantage sur la vulnérabilité — ou la résilience — des manchots face aux changements climatiques en cours.


    Notre-Dame: le toit des forêts disparues

    Partagez Facebook Twitter Pinterest LinkedIn Tumblr Courriel

    Articles similaires

    16 mai 2022

    La Terre a perdu 4000 kilomètres carrés de terres humides en seulement 20 ans

    15 mai 2022

    Le sel de la mer sur la terre

    13 mai 2022

    Gestion de la sécheresse : la planète « à la croisée des chemins », prévient l’ONU

    Agence Science-Presse
    • Site web
    • Twitter

    Un commentaire

    1. Pingback: Les déjections de pingouins et de phoques, garants de la biodiversité - pieuvre.ca

    Répondre Annuler la réponse

    Abonnez-vous à l’infolettre!
    Vous cherchez un article?
    Suivez-nous
    Dossiers spéciaux
    • Vues d’Afrique
    • Présidentielle française 2022
    • 45 ans du Stade olympique
    Nos podcasts
    • Entretiens journalistiques
    • Rembobinage
    • SVGA
    • Pixels et préjugés
    • Heure supplémentaire
    Récemment publié
    16 mai 2022

    La Terre a perdu 4000 kilomètres carrés de terres humides en seulement 20 ans

    15 mai 2022

    La chair de Julia, un superbe retour de Julie Vincent à Montréal

    15 mai 2022

    Une offre qu’il ne pouvait pas refuser

    15 mai 2022

    Le sel de la mer sur la terre

    15 mai 2022

    Dans le trou noir des superlatifs

    Fil de presse fourni par Cision
    Newswire provided by Cision
    Informations
    • Votre semaine tentaculaire
    • Contribuez au succès de Pieuvre.ca
    • Notre équipe
    • Contactez-nous
    • Annoncez sur Pieuvre.ca / Advertise at Pieuvre.ca
    © 2009-2022 Hugo Prévost. Tous droits réservés.

    Tapez ci-dessus et appuyez sur Entrée pour rechercher. Appuyez sur Echap pour annuler.