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    Accueil»Culturel»Théâtre / Cirque»Hamster, la pièce du 450
    Photo: Annie Éthier.

    Hamster, la pièce du 450

    1
    Par Hugo Prévost le 19 mars 2018 Théâtre / Cirque

    Ils sont jeunes. Ils sont coincés en banlieue. Ils errent dans cette zone grise faite de villes-dortoirs et de centre commerciaux beige et habituellement seulement accessibles par voiture. Bienvenue dans Hamster.

    Dans la nuit de Boisbriand, des personnages apparemment sans histoire traînent en fait tous qui un lourd passé, qui de profondes névroses qui remontent lentement à la surface, comme autant de symboles malsains d’une crise d’adolescence empoisonnant une existence déjà morne et difficile.

    Il y a cette jeune femme qui attend l’autobus, et qui se retrouve coincée avec un vieil homme qui a perdu sa femme, et qui passe maintenant l’aspirateur sur sa pelouse. Il y a cette élève qui décide de quitter l’école pour aller s’empiffrer de mauvais poulet frit à l’épicerie du coin, encore touchée par le départ d’un être cher. Et il y a ces deux jeunes hommes, employés d’une station-service, qui considèrent ce travail sans âme comme un purgatoire autant professionnel que personnel.

    Sur scène, ces divers personnages s’entrecroisent lors de divers tableaux parfois humoristiques, parfois dramatiques.

    Comme l’expliquait l’auteure de la pièce, Marianne Dansereau, en entrevue avec Pieuvre.ca la semaine dernière, Hamster exprime ce mal-être qui semble ne jamais vouloir se dissocier de cette période trouble de la vie qu’est l’adolescence. Et lorsque l’on combine cela à la vie en banlieue, tous les ingrédients semblent réunis pour obtenir un résultat plus qu’incertain.

    Hélas, cette incertitude est également transposée dans la pièce jouée sur les planches de La Licorne. La mise en scène, un peu trop statique, nous empêche de connecter réellement avec ces jeunes gens en crise existentielle.

    Pire encore, la fin de l’oeuvre, passablement abrupte, prend le spectateur par surprise, et tourne un peu trop les coins ronds pour que l’on ne sorte pas de la salle sans se poser plusieurs questions. Il est certain que Hamster n’est pas là pour nous prendre par la main, mais il existe une marge entre laisser le public trouver seul certaines réponses et constater que la fin de la pièce est précipitée au point de trancher un peu trop fortement avec ce qui s’est déroulé au cours des 75 minutes précédentes.

    Hamster, de Marianne Dansereau, mise en scène par Jean-Simon Traversy. Jouée au Théâtre La Licorne jusqu’24 mars.


    En complément:

    Hamster: pour sortir de la cage

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    Cofondateur et rédacteur en chef de Pieuvre.ca, Hugo Prévost se passionne pour le journalisme depuis l'enfance. S'il s'intéresse surtout à la politique, à la science, à la technologie et à la culture, Hugo n'hésite pas non plus à plonger tête première dans les enjeux de société, l'économie ou encore les loisirs et le tourisme.

    Un commentaire

    1. Pingback: Théâtre – Une génération en crise d’anxiété

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