Pieuvre.ca
    Facebook Twitter Instagram
    Pieuvre.ca
    • Accueil
      • Notre équipe
      • La réplique
      • Annoncez sur Pieuvre.ca / Advertise at Pieuvre.ca
      • Votre semaine tentaculaire
      • Contactez-nous
      • Fil de presse fourni par Cision – Français
      • Newswire provided by Cision – English
    • Culturel
      • Arts visuels
      • Cinéma / Télévision
      • Danse
      • Littérature
        • Romans
        • Essais
        • Bandes dessinées
        • Beaux livres
        • Poésie
      • Musique
      • Théâtre / Cirque
      • Festivals
        • Cinémania
        • Fantasia
        • FIFA
        • FNC
        • FTA
        • OFFTA
        • Montréal complètement cirque
        • Mutek
        • RIDM
        • RVQC
        • Vues d’Afrique
        • Zoofest
    • Politique / Économie
      • Politique
      • Économie
      • Afrique
      • Amériques
        • Élections fédérales 2021
        • Maison-Blanche 2020
        • Élections fédérales 2019
      • Asie
      • Europe
        • Présidentielle française 2022
      • Moyen-Orient
    • Science
      • Science
      • Environnement
    • Société
      • Société
      • Médias
      • Santé
      • Vie tentaculaire
      • Jeux de société
      • 45 ans du Stade olympique
    • Techno / Jeux
      • Technologie
        • Séance de test
      • Jeux vidéo
        • Rétroctopode
        • Jeux préférés de…
    • Podcasts
      • Entretiens journalistiques
      • Rembobinage
      • SVGA
      • Pixels et préjugés
      • Heure supplémentaire
    • Dons
    Pieuvre.ca
    Accueil»Science»SpaceX rate un autre amerrissage, mais garde espoir
    Quelques secondes avant la catastrophe

    SpaceX rate un autre amerrissage, mais garde espoir

    0
    Par Hugo Prévost le 19 janvier 2016 Science

    Hugo Prévost

    Il s’en est fallu de peu… les mordus d’exploration spatiale et les bonzes de l’industrie retenaient leur souffle, dimanche, alors que la compagnie SpaceX de l’entrepreneur Elon Musk tentait, pour la troisième fois, de poser une fusée de lancement sur une barge en plein océan, histoire d’ouvrir la voie vers des engins réutilisables, et donc moins chers.

    Les questions de coûts ont toujours représenté un obstacle majeur au développement d’un programme spatial. Si l’enthousiasme débridé des États-Unis et de l’ex-Union soviétique avait permis d’engloutir des sommes astronomiques pour alimenter la course à l’espace, à partir des années 1960 et jusqu’à la chute de l’URSS, force est de constater qu’à l’exception des engins Soyouz destinés à envoyer les astronautes à bord de la Station spatiale internationale (ISS) et des véhicules automatiques Progress servant de ravitailleurs à cette même station, la Russie n’a plus, pour l’instant, de programme spatial à proprement parler. Cela est entre autres dû à un manque de devises, une carence que le président Vladimir Poutine a décidé de corriger en annonçant la construction d’un nouveau centre spatial d’ici les prochaines années.

    Pour SpaceX, l’idée d’une fusée réutilisable permettrait d’économiser des dizaines de millions à chaque lancement: au lieu de laisser la fusée Falcon 9 propulsant les capsules ou les satellites brûler à son retour dans l’atmosphère, ou s’écraser dans l’océan, pourquoi ne pas récupérer le lanceur? Il s’agit à la fois d’une mesure de récupération des coûts, et d’un exploit technique que seule la navette spatiale était autrefois en mesure d’accomplir.

    Si SpaceX avait réussi, le mois dernier, à ramener intacte l’une de ces fusées Falcon 9 au cours d’un atterrissage sur la terre ferme, cibler une barge voguant sur l’océan a toujours été l’ultime défi pour la compagnie américaine.

    Cette fois encore, le proverbial grain de sable est venu se glisser dans l’engrenage: après un décollage dans un brouillard relativement épais, la fusée Falcon 9 s’est bel et bien posée sur la barge, mais l’un des patins d’atterrissage (ou amerrissage, dans ce cas-ci) semble ne pas s’être verrouillé correctement. Résultat, la fusée tangue, puis tombe lentement sur le côté, avant de finir par se désintégrer dans une explosion spectaculaire. « Au moins, les morceaux étaient plus gros cette fois-ci », a lancé M. Musk sur Twitter, se disant « optimiste » à propos d’un prochain amerrissage réussi.

    Chez SpaceX, toujours, on évoque la formation de cristaux de glace sur les patins en raison du brouillard. Il faut également souligner que la barge flottait sur une mer agitée; le centre de contrôle avait signalé des creux allant jusqu’à cinq mètres avant le décollage.

    Partie remise pour l’ambitieuse entreprise, donc, qui a un carnet de commande particulièrement chargé, avec 60 vols totalisant des contrats de 8 milliards $ US, y compris des missions de ravitaillement pour la NASA. D’ici quelques années, par ailleurs, la capsule Dragon employée en ce moment pour transporter de la nourriture, des fournitures et des pièces de rechange, servira aussi de vaisseau de transport pour jusqu’à huit astronautes en direction d’une orbite basse.

    Partagez Facebook Twitter Pinterest LinkedIn Tumblr Courriel

    Articles similaires

    15 mai 2022

    Dans le trou noir des superlatifs

    10 mai 2022

    Imiter un insecte pour éloigner le prédateur

    8 mai 2022

    Un siècle de recherche scientifique en français

    Hugo Prévost
    • Facebook
    • Twitter

    Cofondateur et rédacteur en chef de Pieuvre.ca, Hugo Prévost se passionne pour le journalisme depuis l'enfance. S'il s'intéresse surtout à la politique, à la science, à la technologie et à la culture, Hugo n'hésite pas non plus à plonger tête première dans les enjeux de société, l'économie ou encore les loisirs et le tourisme.

    Répondre Annuler la réponse

    Abonnez-vous à l’infolettre!
    Vous cherchez un article?
    Suivez-nous
    Dossiers spéciaux
    • Vues d’Afrique
    • Présidentielle française 2022
    • 45 ans du Stade olympique
    Nos podcasts
    • Entretiens journalistiques
    • Rembobinage
    • SVGA
    • Pixels et préjugés
    • Heure supplémentaire
    Récemment publié
    16 mai 2022

    La Terre a perdu 4000 kilomètres carrés de terres humides en seulement 20 ans

    15 mai 2022

    La chair de Julia, un superbe retour de Julie Vincent à Montréal

    15 mai 2022

    Une offre qu’il ne pouvait pas refuser

    15 mai 2022

    Le sel de la mer sur la terre

    15 mai 2022

    Dans le trou noir des superlatifs

    Fil de presse fourni par Cision
    Newswire provided by Cision
    Informations
    • Votre semaine tentaculaire
    • Contribuez au succès de Pieuvre.ca
    • Notre équipe
    • Contactez-nous
    • Annoncez sur Pieuvre.ca / Advertise at Pieuvre.ca
    © 2009-2022 Hugo Prévost. Tous droits réservés.

    Tapez ci-dessus et appuyez sur Entrée pour rechercher. Appuyez sur Echap pour annuler.