Nous avons donc droit à six heures d’un divertissement tout à fait agréable, mettant en vedette un acteur et comédien qui tient davantage du voisin sympathique, ou de l’oncle bollé et rigolo, que du bellâtre inaccessible, en plus de se faire raconter une histoire de guerre de pouvoir et d’influence bien ficelée. Vivement la deuxième saison!

Une explication possible: lorsqu’il y a une telle « compétition », le mâle qui l’emporte est celui que l’évolution a favorisé avec des traits génétiques comme une plus grande masse corporelle, ou de plus gros ornements: par exemple, les plumes ou les ramures. Or, de tels traits sont « coûteux », d’un point de vue biologique.

Pour ceux qui étudient l’ère glaciaire en Europe, la présence de ces bestioles, qui ont besoin de grandes quantités d’eau, suggère que le climat froid n’était pas uniformément répandu sur le continent.