Plongé dans la tourmente depuis l’élection des conservateurs de Doug Ford, confronté à une réalité bilingue et à des enjeux à la fois similaires et différents de ceux des francophones du Québec, le journalisme ontarien dans la langue de Molière représente un défi qu’Étienne Fortin-Gauthier relève avec un plaisir contagieux.