Browsing: Santé

Une journée après avoir annoncé que la planète était aux prises avec une pandémie de COVID-19, la maladie provoquée par le nouveau coronavirus, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) affirme qu’il est encore possible de contrôler l’ampleur de la crise, et que la planète ne doit pas céder au désespoir.

Parmi les nombreuses théories du complot qui circulent autour du coronavirus, le plus troublant est sans doute qu’il y ait des gens prêts à croire que des gouvernements procéderaient à des exterminations de masse chez les malades.

Difficultés à se réveiller, cerveau embrumé, envie de se rendormir pendant la journée… Nous avons tendance à nous alarmer lorsque nous faisons de l’insomnie, mais faudrait-il également s’inquiéter lorsque nous souffrons d’hypersomnie, un endormissement diurne à répétition?

Un sondage publié cette semaine contient une bonne et une mauvaise nouvelle. La bonne: en dépit de l’avalanche de désinformation autour du coronavirus depuis deux mois, une majorité d’Américains voient clair à travers l’écran de fumée. La mauvaise: les républicains sont divisés sur qui croire, entre Trump et les experts médicaux. 

Les nouvelles inquiétantes sur une percée du coronavirus en Corée cette semaine — une centaine de cas —, ou au Japon — ses deux premiers décès coup sur coup — masquent deux réalités encourageantes: le nombre de nouveaux cas quotidiens est peut-être en train de ralentir. Et dans 80% des cas, l’infection est sans gravité. 

L’humoriste Dominic Paquet a entrepris en janvier une cryothérapie pour perdre du poids, devant les caméras de l’émission de Julie Snyder. Mais sait-on vraiment si le fait de soumettre son corps à une température inférieure à -110°C fait maigrir? Le Détecteur de rumeurs a vérifié. 

En trois semaines, 90 médias dans 39 pays ont publié quelque 400 vérifications de faits autour du nouveau coronavirus. Dont plusieurs dizaines tournaient autour de faux traitements ou de fausses façons de prévenir la contagion. Et un rapide survol de ce qui a été publié depuis le 24 janvier, révèle que ces fausses nouvelles demeurent très populaires.

La semaine dernière, on pouvait trouver, grâce à Google, quelque 200 textes de vérification des faits sur le coronavirus, publiés en 15 langues par divers médias à travers le monde. Mais Google n’arrivait pas à faire ressortir ces vérifications très haut dans les résultats de recherches.