La question des revenus publicitaires, qui est déjà au coeur des tensions entre les différentes plateformes et les médias qui y diffusent des contenus, n’est toutefois pas nécessairement plus claire sur ce service, à l’instar de Facebook, Instagram, Twitter et consorts.
Browsing: Médias
Camille Dauphinais-Pelletier répond aux questions d’Hugo Prévost et explique comment le fait de s’adapter à de nouvelles plateformes est essentiel pour rejoindre le public et lui parler des enjeux de l’heure.
On est devant des groupes qui, pour défendre leur idéologie, ont désormais un intérêt personnel ou politique à miner la légitimité des régimes démocratiques. Et la désinformation les sert bien —avec un coup de pouce des algorithmes des réseaux sociaux.
La compagnie qui développe ce jeu vidéo, Bohemia Interactive, basée en République tchèque, a publié une note à ce sujet le 10 octobre — en fait, une mise à jour d’une note qu’elle avait publiée au début de la guerre en Ukraine.
« Plus que jamais, le journalisme nécessite un socle éthique solide et largement reconnu. Avec nos partenaires, nous appelons les journalistes, médias et rédactions du monde entier à s’approprier ces principes, à les proclamer, et à les décliner dans leurs pratiques. »
Au dire des chercheurs, l’analyse suggère que les efforts visant à éduquer le public à propos des deepfakes pourrait saper, par inadvertance, la confiance envers les véritables vidéo.
L’avantage de faire soi-même des vérifications élémentaires — vérifier la source, chercher une deuxième source — c’est que cela permet de ralentir la dissémination de désinformation.
Dans la dernière année, dans la foulée de la mise à pied des équipes chargées de la modération des contenus sur Twitter, plusieurs analyses avaient démontré une montée en flèche de la désinformation, y compris en science, et des propos haineux.
Comme le rappelle le journal britannique The Guardian le 11 octobre, la Russie est connue des experts pour avoir utilisé X pour diffuser de la désinformation, et les événements des derniers jours laissent croire « qu’elle semble avoir capitalisé sur le conflit israélo-palestinien ».
Colette Brin, directrice du Centre d’étude sur les médias de l’Université Laval, explore les conclusions d’un coup de sonde révélant que les Québécois ont peu changé leurs habitudes de consommation de nouvelles sur le web.