Investissements ou pas, une chose semble claire alors que se déroule la COP29 : à court terme, ce n’est plus vers les États-Unis que le reste du monde regarde pour un leadership politique contre les changements climatiques.
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Les auteurs de l’étude notent que la plupart des efforts de captation du carbone sur une durée de 100 ans s’appuient sur des méthodes naturelles, ce qui les rend vulnérables. Un seul feu de forêt, disent-ils, peut entraîner le relâchement de plusieurs tonnes de CO2 dans l’atmosphère.
Si les écologistes ne peuvent pas dire à quelle vitesse la nature sera capable de s’ajuster, en revanche, ce qui est certain, c’est que les hivers ne sont plus ce qu’ils étaient et que ça ne va pas s’améliorer.
La recherche s’est plutôt penchée, au cours des dernières décennies, sur les souris. Mais les cerveaux des chats montreraient des signes d’atrophie et de déclin cognitif qui ressemblent davantage à ce qu’on observe chez les humains.
Un gène spécifique, ainsi qu’un récepteur neurnonal, seraient largement responsable de ce mouvement vivant à se sécher rapidement, chez le meilleur ami de l’homme.
Excellents nageurs, les individus se rassemblent généralement près des côtes de l’Antarctique ou sur des icebergs pour se reproduire. À long terme, selon une estimation du Fonds mondial pour la nature, la survie des trois quarts des colonies serait menacée par la dislocation d’une partie des glaces en raison du réchauffement climatique.
C’est par une analyse d’ADN qu’on peut en théorie mettre une date. Et plus précisément une analyse d’ADN ciblant, dans différentes parties de l’arbre, les mutations somatiques, c’est-à-dire celles qui se produisent après la conception.
Les auteurs du rapport évaluent que les émissions devraient être coupées de 54% en 2030 et de 72% en 2035. Ils reprochent aussi le fait que certains pays ont des cibles si basses qu’ils n’ont pas besoin de mettre en place de nouvelles politiques pour les atteindre.
Dans l’expérience dont il est question ici, des cellules souches tirées des tissus adipeux de cette femme ont été reprogrammées pour devenir des cellules capables de produire de l’insuline.
Le projet, appelé Human Tumor Atlas Network, qui est depuis 2018 sous l’aile de l’Institut national du cancer des États-Unis, a analysé plus de 8000 « biospécimens » —par exemple, un tissu cancéreux prélevé chez un humain ou un animal— représentant plus de 2000 cas de cancers.