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    Accueil»Technologie»Jeux vidéo»World in Conflict: la guerre, une raison pour se faire mal
    L'affiche du jeu

    World in Conflict: la guerre, une raison pour se faire mal

    0
    Par Hugo Prévost le 9 décembre 2021 Jeux vidéo

    On ne sait trop ce qui a motivé ce retour à World in Conflict, un jeu de stratégie en temps réel développé par Massive Entertainment et publié par Ubisoft en 2007. En fait, oui: c’est l’avance gauche et suicidaire d’un joueur sur Twitch qui a hérissé ce journaliste, et l’a convaincu de réinstaller ce jeu primé, il y a bientôt une quinzaine d’années.

    Vers la fin des années 1980, l’URSS, acculée dans ses derniers retranchements, demande de l’aide de l’Ouest. Face à la lenteur des négociations, c’est finalement le bruit des canons qui l’emporte, et l’Union soviétique lance un assaut tous azimuts contre les forces de l’OTAN. Le joueur devra ainsi combattre en France, en Norvège, en Russie elle-même, et surtout aux États-Unis, les Soviétiques aillant notamment lancé une invasion surprise de la côte ouest américaine. Le contenu supplémentaire, intitulé Soviet Assault, dont l’ajout à la version de base du jeu donne la « version intégrale » du titre, ajoute des missions intercalaires où le joueur sera aux commandes des forces communistes, que ce soit en Europe ou en Amérique.

    L’idée est généralement simple: recruter des forces, prendre position à différents endroits précis de la carte, parfois à l’intérieur d’un temps limite, tout en combattant et détruisant les unités ennemies, qu’il s’agisse d’hélicoptères, de chars et autres véhicules, ou encore de fantassins divers.

    Heureusement, plusieurs facteurs viennent accroître l’intérêt de ce genre de jeu de stratégie que l’on compte parfois par douzaines. D’abord, les cartes des différentes missions sont entièrement en trois dimensions, avec le contrôle de la caméra qui s’effectue à l’aide des touches WASD, ainsi qu’en cliquant la molette de la souris. Il est ainsi possible d’accéder à l’ensemble du territoire de la mission en cours. Et, ultimement, d’y commander des frappes aériennes, par exemple. Cette possibilité d’envoyer des avions de chasse et des bombardiers effectuer diverses sorties contre les unités au sol ou les hélicoptères adverses vous sauvera d’ailleurs la mise à plusieurs reprises. Il n’est en effet pas rare d’être en voie d’être submergé, puis de s’en tirer in extremis à l’aide d’un chapelet de bombes particulièrement bien placé.

    Autrement, point de baraquements, d’usines, ou encore de ressources. En fait, World in Conflict propose deux types de points qui s’accumuleront soit à un rythme stable, soit en fonction des combats qui se déroulent au sol. Les premiers sont les points de renforts, qui permettent de « commander » des unités qui seront larguées par parachute. Leur total est normalement prédéfini, et n’augmente qu’en fonction de l’accomplissement de certains objectifs, ou pour correspondre à la valeur d’une unité anéantie.

    S’il sera ainsi normalement impossible de perdre une mission en perdant son armée entière, sauf en de rares circonstances, il faudra toutefois être patient avant que les points ne s’accumulent suffisamment pour remplacer un char détruit, par exemple. Et comme ces ravitaillements aériens sont eux aussi espacés en fonction du temps, il faudra tenter de bien gérer ses forces pour éviter de voir ses dernières troupes anéanties et ses points de contrôle capturés par l’ennemi, pendant que vous attendez bêtement que l’avion-cargo soit de nouveau disponible.

    Feu à volonté

    Tout cela s’unit pour donner un jeu de stratégie en temps réel plus que divertissant, et à la profondeur tout à fait conséquente: n’espérez pas, par exemple, pouvoir l’emporter dans des rues étroites en utilisant des chars lourds. Bien sûr, vous pourriez envoyer vos soldats, et risquer de les voir se faire tuer les uns après les autres; ou vous pourriez utiliser des frappes aériennes… et finir avec un village presque entièrement rasé. Que faire? Le jeu ne punit pas l’emploi excessif de la force, sauf dans certains cas, mais que restera-t-il à sauver ou à libérer, si vous détruisez tout sur votre passage?

    Comme tout jeu ayant plus de 10 ans d’âge, World in Conflict a vieilli. Non pas du côté de son scénario, qui est certainement classique, mais qui demeure solide… Non, les choses se corsent un peu plus du côté des cinématiques. Celles-ci, que l’on imagine avoir été réalisées avec un engin graphique d’abord destiné à animer des explosions et des tanks sur un champ de bataille, sont certainement à la peine lorsque vient le temps de modéliser des personnages humains et des expressions faciales. Le tout se tient quand même, mais on est bien loin du réalisme de jeux plus récents. Ou même à des années-lumière de Starcraft 2, par exemple, sorti à peine trois ans plus tard – il faut bien entendu souligner que Blizzard a toujours été un précurseur en matière de cinématiques, ce qui rend certainement la comparaison un peu injuste.

    Quoi qu’il en soit, World in Conflict demeure un titre tout à fait intéressant, bien que son côté sans doute le plus divertissant, le jeu à plusieurs, soit largement mort et enterré depuis belle lurette. Mais si jamais vous arrivez à dénicher un serveur, ou quelques amis pour une partie en réseau, la Troisième Guerre mondiale n’aura jamais été aussi tentante…

    Et pour ceux qui voudraient y jouer en une résolution relativement élevée, il est nécessaire d’utiliser un programme tiers pour corriger un bogue lié à l’utilisation de trop peu de mémoire vive, ce qui entraîne un plantage systématique. La solution se trouve ici.

    World in Conflict

    Développeur: Massive Entertainment

    Éditeur: Ubisoft

    Plateforme: Windows (testé sur GOG)

    Jeu disponible en français (audio et textes à l’écran)

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    Cofondateur et rédacteur en chef de Pieuvre.ca, Hugo Prévost se passionne pour le journalisme depuis l'enfance. S'il s'intéresse surtout à la politique, à la science, à la technologie et à la culture, Hugo n'hésite pas non plus à plonger tête première dans les enjeux de société, l'économie ou encore les loisirs et le tourisme.

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