L’humanité pourrait n’avoir besoin de tourner le regard que vers son propre système solaire pour trouver de la vie extraterrestre, ont affirmé mardi des chercheurs examinant l’une des lunes de la géante gazeuse Saturne.
Navigation : vie extraterrestre
Une décapotable Tesla rouge qui a été lancée dans l’espace à bord d’une fusée de l’entreprise SpaceX, au début de février, a emporté avec elle ce qui pourrait être le plus important volume de bactéries terrestres jamais lancé à l’extérieur de notre planète.
Que des chercheurs en astronomie ou en biologie réfléchissent à la possibilité de vie extraterrestre n’a plus rien d’étonnant. Mais des psychologues? Une poignée d’entre eux se sont posé la question suivante: comment réagirait la population à l’annonce d’une telle découverte?
L’une des hantises des exobiologistes n’est pas qu’on trouve un jour des traces de vie sur Mars. C’est qu’on trouve des traces de vie… sans être capable de prouver que c’est de la vie.
Ce n’est pas tous les jours que la grande nouvelle en astronomie est une sonde spatiale qui va s’écraser sur Saturne.
Si la vie existe vraiment sur Titan, comme les médias en ont fait état cette semaine, sa chimie sera très différente de celle de la vie sur Terre. À commencer par le fait qu’il n’y a pas d’eau sur Titan, cette grande lune de Saturne.
Protéger les autres planètes d’une contamination par des bactéries terriennes est en train de quitter le terrain théorique pour mettre les deux pieds dans la réalité: c’était le premier sujet à l’ordre du jour du congrès annuel d’astrobiologie le mois dernier, en Arizona, et au moins trois futures sondes spatiales sont directement concernées.
Elle ressemble à un désert de glace, mais sous la surface inhospitalière d’Encélade, une lune de Saturne, la vie pourrait prospérer au sein d’océans sous-terrains composés d’eau tiède, estiment des chercheurs.
Des scientifiques affirment avoir détecté, pour la première fois, une atmosphère autour d’une planète similaire à la nôtre.
On craignait le pire, mais la communauté scientifique et les amateurs d’exploration spatiale ont finalement poussé un soupir de soulagement: l’engin robotisé Schiaparelli de l’Agence spatiale européenne (ESA) a atterri sans problèmes à la surface de la Planète rouge, relançant les recherches d’une possible vie extraterrestre.