Proportionnellement, les non-vaccinés étaient systématiquement plus à risque d’être l’objet de cas graves de COVID conduisant à des hospitalisations, voire plus à risque d’en mourir.
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Plusieurs hôpitaux à travers le monde observent en ce moment la progression de ces nouveaux variants, et espèrent que les prochaines nouvelles du monde de la recherche seront plus encourageantes.
Rien dans l’histoire d’Omicron depuis 10 mois ne permet de croire que BA.2.75.2 « sera la fin de la ligne évolutive ».
Comment les prévisions pandémiques se traduiront-elles, en Amérique du Nord et en Europe, en termes d’hospitalisations et de décès, personne ne se risque à le prédire pour l’instant.
En date du 28 janvier, la proportion de BA.2 était estimée à 9% en Grande-Bretagne, et à 8% aux États-Unis.
« Même si Omicron cause des symptômes moins sévères, le nombre absolu de cas pourrait une fois encore submerger des systèmes de santé mal préparés. »
« C’est trop tard : le variant circule mondialement », affirme un spécialiste britanno-colombien.
Ce virus ayant réservé sa part de surprises depuis deux ans, il est normal de jouer la carte de la prudence, mais il est trop tôt pour s’alarmer.
Plus longtemps les pays pauvres attendent leurs premières doses, plus les risques sont élevés que l’évolution du virus rende à un moment donné une troisième dose indispensable.
Si certains spécialistes disent craindre l’impact du variant Delta, la plupart d’entre eux dénoncent surtout l’iniquité vaccinale entre pays.