
Quand la peur sert à répandre des virus en ligne
Des cybercriminels s’appuient sur la peur pour répandre de dangereux virus et des logiciels espions sur Twitter, révèle une nouvelle étude.
Des cybercriminels s’appuient sur la peur pour répandre de dangereux virus et des logiciels espions sur Twitter, révèle une nouvelle étude.
La politisation rapide de la pandémie de COVID-19, aux États-Unis, peut être constatée dans les messages publiés à ce sujet sur Twitter par les membres du Congrès américains, révèle une nouvelle étude.
Confronté à un réseau social qui a finalement – et très timidement – réagi au torrent de mensonges, de demi-vérités et de messages manipulateurs qu’il y déverse tous les jours, le président américain Donald Trump a signé jeudi un décret visant à retirer à Twitter, mais aussi aux autres réseaux sociaux, certaines protections juridiques les empêchant d’être poursuivis pour le contenu qui est publié sur leurs plateformes.
Après des années passées à se faire reprocher d’être des vecteurs de désinformation, il y aura fallu un coronavirus pour faire bouger certaines des plateformes: au cours des deux dernières semaines, Twitter a effacé plusieurs tweets contenant des fausses informations, dont deux émanant de nul autre que le président du Brésil.
Le Kremlin a beau démentir s’être immiscé dans la campagne présidentielle américaine pour favoriser la victoire de Donald Trump, cette affaire sans précédent complique la tâche du futur président des États-Unis pour parvenir à un réchauffement des relations entre Washington et Moscou.