On s’entend sur le fait que les astronautes semblent plus susceptibles de développer à long terme des problèmes cardiaques, mais à l’inverse, chez plusieurs, les problèmes identifiés lors des prises de sang pendant le séjour dans l’espace, semblent s’être résorbés dans les mois qui ont suivi leur retour sur Terre.
À Edmonton, par exemple, Airbnb et les autres services ne représentaient que 2,1 % des revenus de ce sous-secteur de l’industrie de l’hébergement. À Montréal, on parlait plutôt de 14,5 %.
Une telle règlementation serait même inspirée de l’exploration spatiale: en effet, bien que l’espace « extra-atmosphérique » soit en-dehors de la juridiction des pays, un engin spatial demeure sous la responsabilité du pays qui l’a lancé, en vertu du Traité de l’espace de 1967.
« Cela n’a pas seulement un effet sur les consommateurs, mais aussi sur les gens qui fournissent ces expériences. Les responsables de la promotion pourraient se tourner davantage vers ces « échappatoires » exclusives qui peuvent faire croître les profits et améliorer la relation avec la marque. »
Il faudra encore du temps (et pas de nouveau variant) pour que l’industrie touristique retrouve les beaux jours de 2019.
Après avoir accueilli des grands-messes sportives pendant des décennies, le Stade olympique se reconvertit peu à peu en destination touristique. Avec les obstacles et les défis que cela comporte.
À 45 ans bien sonnés, le Stade olympique est toujours bien solide sur ses fondations, et représente même une part importante du patrimoine urbain de la métropole.
À l’échelle mondiale, quelque 2000 milliards de dollars se sont évaporés en raison des impacts sur le secteur touristique.
Il ne suffit pas d’avancer les millions pour échapper aux problèmes que vivent les astronautes en orbite.
Les boîtes mensuelles donnent l’occasion de découvrir des coins possiblement moins connus du Québec.
