Avec un talent fou, cinq artistes incroyables (Natalie Lecompte, Pierre Brassard, Benoit Paquette, Monika Pilon, Marie-Eve Sanfaçon, Marc St-Martin) proposent un spectacle de théâtre et de music-hall, dans lequel ils dansent, chantent, imitent et jouent la comédie pour amuser le public.
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Issue d’une écriture collective, Dernière frontière est une sorte de théâtre documentaire qui s’accompagne de musiques et de chants, de théâtre, d’installations, de vidéos, de performances, d’animations de cabaret, de récits et de témoignages authentiques.
Le roi danse aurait gagné à être plus court, en éliminant ces passages ô combien superflus, voire gênants, pour laisser toute la place à sa réflexion fort intéressante sur la relation entre l’extraordinaire et le mondain, entre les aspirations et la réalité.
Ultimement, Les Érotisseries sont une vitrine inégale pour un érotisme tout aussi intellectuel (et intellectualisé) que profondément physique et charnel. On ressort de l’Espace libre en se disant que l’on vient de vivre une expérience collective qui se situe très, très loin de l’art théâtral traditionnel. À voir, donc… Mais en prenant bien soin de choisir un ou une invité(e) ouverte d’esprit, le cas échéant!
Justin Laramée imaginait sortir de ses investigations une courte présentation d’une dizaine de minutes, mais la pièce de deux heures est devenue le projet le plus important de sa vie.
Ultimement, donc, Entre deux mondes, comme l’indique son titre, se plonge dans ce qu’il pourrait convenir d’appeler des limbes sociologiques, cet espace entre l’ailleurs et l’ici, entre deux identités. Ou, peut-être, dans ce qu’il convient de qualifier de nouvelle vie?
Par une performance solo exceptionnelle de l’actrice Debbie Lynch-White, très bien mise en scène par Édith Patenaude, son texte fort et bouleversant fait trembler le public et l’aide à prendre conscience des dessous inextricables de cette mission nécessaire et quasiment impossible qu’est le travail humanitaire.
Ces trois histoires sélectionnées de l’ouvrage de Calvino sont superbement illustrées, racontées, mises en musique avec tout le soin qui convient. Des intermèdes drôles et délicats ajoutent à l’expérience du spectateur et à ses réflexions, à l’instar de Monsieur Palomar.
L’ensemble est un pur divertissement et on rit du début à la fin; l’équipe projette de faire d’autres shows, et on a hâte d’y aller.
Les remugles donnent l’impression d’une oeuvre qui n’arrive pas à atteindre l’objectif qu’elle s’est elle-même fixé. Comme si, justement, les thèmes abordés échappaient in extremis aux phrases de l’autrice.