Les remugles donnent l’impression d’une oeuvre qui n’arrive pas à atteindre l’objectif qu’elle s’est elle-même fixé. Comme si, justement, les thèmes abordés échappaient in extremis aux phrases de l’autrice.
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Ultimement, Si jamais vous nous écoutez propose une expérience théâtrale qui sort très agréablement du moule, mais qui aurait peut-être gagné à repousser davantage le cadre, histoire de véritablement plonger dans l’espace profond.
Les créateurs de la pièce de théâtre réussissent le pari d’adapter l’oeuvre de Kafka sur scène.
La pièce jette un pavé dans la mare en éclairant les « zones d’ombre » liées aux dossiers identitaires.
L’oeuvre s’attaque aux angles morts en matière de connaissance des enjeux autochtones, même chez les personnes déjà bien informées.
Cela a beau faire bientôt 10 ans que des centaines de milliers d’étudiants sont descendus dans les rues du Québec pour protester, entre autres, contre la hausse des frais de scolarité du gouvernement Charest, les flammes de la contestation ne se sont jamais tout à fait éteintes. Et dans Zoé, une pièce d’Olivier Choinière présentée au Théâtre Denise-Pelletier, les fondements philosophiques et éthiques des grévistes se heurtent à une autre vision, celle d’un utilitarisme altruiste, certes, mais qui provoque des étincelles.
Adaptation théâtrale de la dystopie écrite par Aldous Huxley en 1931, Le meilleur des mondes de Guillaume Corbeil débutait la semaine dernière, au Théâtre Denise-Pelletier.
Pour une deuxième édition, Didier Lucien a invité les écrivains adolescents du Québec à composer leurs textes en réfléchissant au thème de nos rêves nocturnes. Les talents n’ont pas manqué. Il en résulte Scriptarium 2019, une pièce intelligente, drôle et rafraîchissante, qui est offerte dans la salle Fred-Barry du théâtre Denise-Pelletier, avant d’être présentée à Québec.
La salle Fred-Barry du Théâtre Denise-Pelletier accueille la nouvelle production du dramaturge et metteur en scène Steve Gagnon, Pour qu’il y ait un début à votre langue.
Difficile liberté, ce titre d’un ouvrage de Lévinas s’adapterai bien au contenu de la pièce de Tom Schulman, La Société des poètes disparus, montée avec bonheur au Théâtre Denise-Pelletier dans une très belle mise en scène de Sébastien David. Dans la prestigieuse et austère Académie de Welton, les étudiants en uniforme répondent à la discipline et travaillent assidument en espérant plus tard intégrer une grande université. Mais lorsque surgit M. Keating, un professeur non conformiste aux méthodes d’enseignement peu orthodoxes, les étudiants découvrent une autre manière de voir et de se comporter.