Navigation : temps des fêtes

« Même si Omicron cause des symptômes moins sévères, le nombre absolu de cas pourrait une fois encore submerger des systèmes de santé mal préparés. »

L’économie canadienne a encaissé un nouveau coup, en décembre dernier, alors que le secteur du commerce de détail a vu ses ventes reculer de 3,4% par rapport au mois précédent, pour s’établir à 53,4 milliards de dollars.

Le 5 janvier, un sondage Léger révélait que 48% des Canadiens, et 46% des Québécois, avaient déclaré avoir visité parents ou amis au moins une fois durant les Fêtes. Tous ces Québécois ont-ils vraiment contrevenu aux règles sanitaires? Le Détecteur de rumeurs apporte quelques bémols.

Le Père Noël a-t-il été déclaré travailleur essentiel et pourra-t-il par conséquent livrer ses cadeaux? Le Détecteur de rumeurs a constaté, à l’instar du site de vérification des faits Snopes, que plusieurs décideurs politiques, à travers le monde, se sont empressés d’accorder ce statut privilégié au bonhomme au manteau rouge.

Si tout le monde devait fêter Noël, combien de temps s’écoulerait-il entre le moment où une première personne est infectée par ce fameux virus, et le moment où les hôpitaux en sentent les effets? Les célébrations américaines du Thanksgiving fournissent l’opportunité d’une expérience grandeur nature.

Qu’il soit envisageable (ou non) de les célébrer en famille, les Québécois semblent déjà penser aux Fêtes de fin d’année, et aux achats qui accompagnent généralement cette période de réjouissances. Selon un récent sondage, ce seront d’ailleurs les détaillants locaux qui seront favorisés par les consommateurs d’ici.

Après une panoplie de téléséries à succès, Isabelle Langlois fait finalement le saut au grand écran pour le pimenter de son irrésistible sens de la répartie en signant le scénario et les dialogues de Merci pour tout, piloté par nulle autre que Louise Archambault, qui se releve à peine de son succès Il pleuvait des oiseaux. Dommage que ce film largement générique se cherche constamment une raison d’être.

Juste au moment où l’on croyait avoir vu toutes les variations possibles des films de père Noël, voilà que nul autre que Alain Chabat se prête au jeu avec Santa & Cie, renommé Noël & Cie au Québec. Une variation qui, à défaut de faire preuve d’imagination (on ne change pas la recette, quand même), est des plus amusantes.