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Véritable voyage à travers des décennies de succès inoubliables, Music by John Williams demeure peut-être un peu en surface, mais il n’en reste pas moins qu’il s’agit d’un hommage particulièrement bien senti à l’un des membres de ce club sélect des compositeurs de musique de film parfois autant, sinon plus connu que les réalisateurs avec qui ils travaillent. À voir, ne serait-ce que pour réentendre ces notes triomphantes au moment où, sur un ciel étoilé, apparaissent ces mots racontant que des rebelles ont volé les plans de l’Étoile noire…

Hugo Prévost et Kevin Laforest prennent la direction de la Maison symphonique de Montréal pour une version ciné-concert de ce classique des blockbusters signé Steven Spielberg.

Toujours un sans faute sur le plan de la technique, Saving Private Ryan demeure un film marquant de l’histoire hollywoodienne. Force est d’admettre, toutefois, que l’esbroufe visuelle ne remplace pas un scénario très ordinaire et des personnages peu attachants que l’on fait disparaître au compte-gouttes, sans que cela ne nous affecte réellement.

Empreint d’une grande force émotionnelle et d’un humanisme touchant, The Color Purple n’a rien perdu de sa pertinence près de quatre décennies après sa sortie initiale. On ne peut que se réjouir que les nouvelles générations aient accès à ce petit bijou du cinéma par le biais de cette version restaurée en 4K.

Pour ce nouvel épisode de Rembobinage d’abord présenté sur Patreon, Hugo Prévost et Kevin Laforest revisitent ce film culte dont les dimensions spirituelles et religieuses étonnent encore, toutes ces années plus tard.

The Fabelmans révèle la façon dont Steven Spielberg est tombé amoureux du cinéma ainsi que ses premiers pas dans le métier, mais au-delà de la simple autobiographie, ce film touchant plaira également au grand public, à travers l’histoire de cette famille à laquelle tous pourront s’identifier.

Pris entre le désir de plaire, d’honorer, de raconter, The Fabelmans se perd un peu en cours de route, surtout face à cette durée de deux heures trente, et bien qu’on s’y plaît beaucoup plus souvent qu’autrement, on n’y trouve pas non plus le coup au cœur qu’on attendait.