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On connaissait déjà le mot coprolite, qui désigne une crotte fossilisée. Il faudra à présent apprendre le mot régurgitalite.

Il avait deux ans et demi ou trois ans au moment de son décès. Sa courte vie s’était déroulée dans ce qui est aujourd’hui le Kenya. Et on a manifestement pris un certain soin pour l’enterrer, il y a 78 000 ans.

Les archéologues ont des alliés à quatre pattes: des recherches récentes mettent en lumière le pouvoir du nez canin pour assister ces scientifiques à la recherche de vieilles sépultures, raconte The New YorkTimes.

Elles ont mis plus de 166 millions d’années à nous parvenir, ces gigantesques empreintes de dinosaures qui s’impriment sur le toit d’une grotte du sud de la France. D’une longueur de plus de 1,25 mètre, ce seraient les traces laissées par trois titanosaures  qui – on présume – se promenaient en bord de mer.

Et c’est une possibilité envisagée depuis au moins les années 1950, rappelle cette semaine le New Scientist. Si on veut critiquer notre société sédentaire en effet, ce n’est pas seulement le fait d’être assis qu’il faut viser, mais… les chaises.

La réalité virtuelle vient au secours des paléontologues qui commencent à se sentir un peu mêlés avec tous ces crânes d’humains ou de pré-humains qu’on ne sait trop où placer dans notre arbre généalogique. Le résultat est l’image d’un crâne qui pourrait être ce à quoi ressemblait l’ancêtre commun à tous les Homo sapiens, il y a 300 000 ans.

Si, à intervalles irréguliers, des squelettes vieux de quelques siècles émergent d’un lac qui dégèle, vous présumez qu’un événement macabre s’est produit, que l’Histoire a oublié de retenir. La vérité s’avère plus complexe.

Les experts ont salué la semaine dernière la toute première découverte d’un os de Dénisovien à l’extérieur de la seule et unique caverne de Sibérie où tous les autres fossiles ont jusqu’ici été découverts. Mais la véritable percée est ailleurs: c’est le premier fossile proprement dit, puisque tout le reste, jusqu’ici, se résumait à une poignée de fragments incomplets.

L’ADN d’un squelette du Nevada vieux de 10 000 ans et l’ADN d’un squelette du Brésil vieux de 10 000 ans montrent des similitudes étonnantes. Assez pour que, conjointement avec d’autres nouveaux génomes préhistoriques, ils offrent le portrait d’une migration extrêmement rapide, dès que les ancêtres des Amérindiens ont mis pied sur le continent.