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Clipper effectuera c ses observations depuis une orbite rapprochée autour d’Europe. Quant à Juice, il vise, comme son nom l’indique, « les » lunes glacées (Europe, Ganymède, Callisto). Mais si les Terriens qui ont envoyé ces deux sondes spatiales sont chanceux, elles pourraient se trouver au bon endroit pour analyser la composition chimique d’un de ces geysers : la présence de matériel organique pourrait être la preuve attendue. 

Des avions, des ballons, des sismographes, des détecteurs d’infrasons et d’autres équipements, étaient donc à l’écoute le 24 septembre, entre le moment où la capsule est entrée dans l’atmosphère au-dessus de San Francisco, et celui où son parachute s’est déployé, sept minutes plus tard.

L’échec de la mission Luna-25 s’inscrit dans une série de coups durs pour le programme spatial russe. Depuis la fin des années 1970, l’agence a dû composer avec une série de fusées qui explosent, une navette spatiale utilisée une seule fois et une mission vers Mars qui n’a jamais dépassé l’orbite terrestre, souligne-t-on dans un article du New Scientist.

Jusqu’ici, la meilleure vue d’ensemble était celle provenant du télescope Hubble, depuis l’orbite terrestre.

La planète la plus près du Soleil a livré certains de ses secrets à la sonde nommée en l’honneur d’un mathématicien italien.

Bien en dessous de la couche nuageuse et gazeuse de la plus grande lune de Saturne, Titan, on trouve Kraken Mare, un océan de méthane liquide. Des astronomes de l’Université Cornell ont estimé que cette mer serait profonde d’au moins 300 mètres près de son centre, soit suffisamment d’espace pour qu’on potentiel sous-marin d’exploration s’y aventure.

Des astronomes ont découvert en septembre ce qui aurait pu être un de ces astéroïdes qui passent dangereusement près de la Terre… mais qui s’est avéré être un objet perdu depuis 54 ans.

Mars possédait autrefois des océans, mais est aujourd’hui desséchée, ce qui pousse bien des gens à se demander comment l’eau a bien pu disparaître. Des chercheurs de l’Université de l’Arizona ont découvert d’étonnantes quantités d’eau dans la couche supérieure de l’atmosphère de la planète rouge, où elle est rapidement détruite, ce qui expliquerait une partie de ce mystère martien.