
Le transport montréalais sous la loupe des urbanistes
Les promesses électorales de Valérie Plante répondent en partie aux problèmes de transport à Montréal. Mais c’est incomplet, selon des experts de l’urbanisation réunis jeudi en colloque.
Les promesses électorales de Valérie Plante répondent en partie aux problèmes de transport à Montréal. Mais c’est incomplet, selon des experts de l’urbanisation réunis jeudi en colloque.
Le maire de Montréal, Denis Coderre, se dit particulièrement satisfait du résultat de la tenue des courses de Formule E dans le quartier Centre-Sud, le weekend dernier, mais voilà que le chef du parti Coalition Montréal, dans l’opposition à l’hôtel de ville, relance le débat sur l’organisation de l’événement.
La Société de transport de Montréal (STM) a annoncé jeudi que la moitié des quelque 68 stations du réseau de métro de la région métropolitaine étaient désormais reliés à un réseau de téléphonie sans fil.
L’annonce, vendredi avant-midi, de l’ajout de trois nouvelles stations du Réseau électrique métropolitain (REM) a semblé plaire aux grands acteurs économiques de la région montréalaise. Chez l’opposition à l’hôtel de ville, cependant, on affirme que c’est bien cher payé pour peu de résultats.
La Société de transport de Montréal (STM) souffre d’un grave problème de sous-financement, ce qui retard le remplacement d’équipements parfois vieux de plusieurs décennies. Et pour Projet Montréal, la faute incombe à l’administration du maire Denis Coderre, « qui a diminué les investissements ».
L’entreprise de location de vélo en libre-service BIXI et la Société de transport de Montréal (STM) se rapprochent un peu plus d’un mariage attendu par plusieurs.