Il y a fort à parier que lors de sa lancée officielle, Bulwark: Falconeer Chronicles sera un jeu de stratégie et de gestion franchement différent, mais toujours avec de solides mécaniques et ce sentiment de devoir absolument résoudre le mystère de ce monde à moitié détruit.
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Sanglante à souhait et magnifiquement dessinée, cette oeuvre pousse paradoxalement à déplorer le fait que l’univers de Turbo Kid a toujours semblé s’appuyer sur de l’esbroufe, plutôt que sur quelque chose de plus solide qui aurait permis de créer un véritable univers.
Ultimement, Star Wars: The Clone Wars est une bonne dose supplémentaire de Pandemic… avec un gros plus de vaisseaux spatiaux, de sabres laser et de côté obscur de la Force. Qui pourrait s’opposer à un tel mélange?
C’est ce qui manque à cette saison : un fil conducteur qui nous permet de renouer avec la série qu’on a tant aimée au cours de la dernière décennie.
On peut passer sous silence les visuels génériques pour les personnages, le mauvais doublage, ou encore les incongruités avec les armes. Ce qui rebute fortement, ce sont ces contrôles et ces mécaniques brouillons, parfois sans queue ni tête. Attendons la suite.
Ultimement, Boltgun est certainement un pas dans la bonne direction. Mais s’il s’agit du meilleur FPS dans l’univers de Warhammer 40K, c’est aussi parce qu’il n’est que le deuxième du genre. Bref, c’est un divertissement sympathique, mais pas la révolution que l’on attendait nécessairement.
Visions demeure, malgré tout, un lieu de créativité et d’originalité, non seulement loin du style d’animation qui a prévalu dans Clone Wars, Bad Batch et autres Rebels, mais aussi sans obligation d’être lié, d’une façon ou d’une autre, au gigantesque univers parfois un peu tarabiscoté que Disney continue de développer.
Guardians of the Galaxy vol.3 est la marque évidente d’un créateur et probablement le meilleur exemple pour voir si on l’apprécie vraiment, au final. Le film est à mi-chemin entre la commande et son désir de finalement s’émanciper pour ce qu’il est vraiment, pour le meilleur et pour le pire.
Hugo Prévost discute avec Jean-Philippe Guilbault de ce qui est décrit comme « la saison de la rédemption ».
Lorsque le générique apparaît, on se dit qu’on n’a peut-être pas nécessairement perdu notre temps, mais que tant qu’à regarder des films de dinosaures, pourquoi ne pas plutôt revisiter le classique des classiques, Jurassic Park?