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There is much to be said about a good Star Wars game. Lightning-fast action, some respect for the lore – as crazy as the lore can get -, and great graphics. Star Wars Battlefront 2 is all that, and even more. But as we gun down TIE Fighters in a flurry of laser beams, one thing remains clear: EA wants your money. Any way they can get it.

Il y a à la fois beaucoup et peu à dire sur ce projet hautement risqué consistant à donner vie à une suite à l’un des grands films cultes du septième art, plus de trente ans après un ratage en salles. Si le respect est heureusement de mise, l’œuvre, auréolée d’un soin indéniable, manque toutefois de profondeur, mais aussi de ce sens du mystère et de l’atmosphère qui a su autant captiver l’imaginaire de tous, sentiment qui ne s’amenuise définitivement pas chaque fois qu’on s’offre une nouvelle écoute de Blade Runner, situation qui ne risque pas d’opérer avec ce 2049 qui s’essouffle tristement au fil de ses 163 minutes.

On ne savait honnêtement pas trop comment réagir à l’annonce d’une suite à Blade Runner. Comment, en effet, envisager un prolongement de l’histoire de l’un des très grands films cultes de la science-fiction, une oeuvre iconique, et ce 30 ans plus tard? Ce défi, le réalisateur Denis Villeneuve et son équipe le relèvent avec brio dans Blade Runner 2049, qui sans égaler le premier titre de la série (comment le pourrait-on?), n’en demeure pas moins une excellente oeuvre qui vient s’ajouter au matériau originel.

Sur une étrange planète à la surface uniformément recouverte de tours identiques, En, jeune femme à peine sortie d’un sommeil cryogénique d’un siècle, part à la recherche d’une méthode légendaire pouvant ressusciter un être aimé dont l’essence aurait été conservée dans un cube d’énergie. 

Un homme se réveille en prison. Pourquoi est-il enfermé? Qui est ce mystérieux Howard dont la voix désincarnée est accompagnée du regard impassible d’une caméra de surveillance? Le thriller de science-fiction Infinity Chamber offre un aperçu intéressant d’un monde privé de son humanité. Mais est-ce vraiment le cas?

Dans un futur lointain, l’humanité, au bord du gouffre, se réfugie sous terre face à la menace des Nonsuch, d’étranges créatures extraterrestres que personne n’est vraiment en mesure d’identifier. Coincé dans un bunker, l’un des soldats humains cherchera à savoir si cette menace existe réellement.

Vingt ans! Vingt ans que le scénariste et réalisateur français Luc Besson a jeté un pavé dans la mare du cinéma de science-fiction en lançant Le Cinquième élément, un film qui combinait l’action d’un blockbuster hollywoodien à l’amour des visuels léchés qui anime le cinéaste. Avec Valérian et la Cité des mille planètes, Besson tente de raviver cette flamme et de rappeler ce grand succès.

On dit parfois que les pires idées sont souvent les meilleures. Et n’eut été de l’apport considérable du surdoué Matt Reeves, probablement que ce reboot devenu une trilogie distincte dans l’ancestrale franchise de Planet of the Apes n’aurait jamais eu droit au blockbuster le plus ambitieux et audacieux depuis belle lurette. Comme quoi, quand Hollywood nous livre avec surprise l’un des films les plus courageux de l’année, en plus d’être l’un des meilleurs, il ne faut surtout pas le rater.

La politique a toujours été présente dans les oeuvres de science-fiction. Si l’on excusera les négociations commerciales et les tractations sénatoriales de la prélogie de la Guerre des étoiles pour leur maladresse, force est d’admettre que les décideurs ne sont jamais bien éloignés des questions d’exploration spatiale ou des percées technologiques associées à la SF.