Avec si peu à dire, dépasser les deux heures s’avère trop long pour l’entreprise et que si l’on en a eu plein les yeux tout du long, on ne ressortira pas du visionnement avec grand-chose à en soutirer, malheureusement.
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Pourquoi coloniser l’espace? Il y a les impacts qu’on pourrait qualifier de philosophiques — élargir nos connaissances, découvrir de nouveaux horizons —, mais ceux-ci seront inévitablement confrontés aux réalités du moment.
En puisant largement dans l’oeuvre d’Asimov, Foundation s’aventure dans de la science-fiction qui va bien au-delà des pistolets laser, des guerres spatiales et des extraterrestres; il s’agit plutôt d’une exploration philosophique de la nature humaine. Et en soin, c’est là autant un défi gigantesque qu’un risque colossal.
Ultimement, plutôt qu’une remise en question de la maternité sur fond de crise environnementale, The Pod Generation tourne malheureusement à vide, avec une idée centrale intéressante, mais qui n’est jamais pleinement exploitée, au déplaisir des cinéphiles.
Il y a fort à parier que lors de sa lancée officielle, Bulwark: Falconeer Chronicles sera un jeu de stratégie et de gestion franchement différent, mais toujours avec de solides mécaniques et ce sentiment de devoir absolument résoudre le mystère de ce monde à moitié détruit.
Sanglante à souhait et magnifiquement dessinée, cette oeuvre pousse paradoxalement à déplorer le fait que l’univers de Turbo Kid a toujours semblé s’appuyer sur de l’esbroufe, plutôt que sur quelque chose de plus solide qui aurait permis de créer un véritable univers.
Ultimement, Star Wars: The Clone Wars est une bonne dose supplémentaire de Pandemic… avec un gros plus de vaisseaux spatiaux, de sabres laser et de côté obscur de la Force. Qui pourrait s’opposer à un tel mélange?
C’est ce qui manque à cette saison : un fil conducteur qui nous permet de renouer avec la série qu’on a tant aimée au cours de la dernière décennie.
On peut passer sous silence les visuels génériques pour les personnages, le mauvais doublage, ou encore les incongruités avec les armes. Ce qui rebute fortement, ce sont ces contrôles et ces mécaniques brouillons, parfois sans queue ni tête. Attendons la suite.
Ultimement, Boltgun est certainement un pas dans la bonne direction. Mais s’il s’agit du meilleur FPS dans l’univers de Warhammer 40K, c’est aussi parce qu’il n’est que le deuxième du genre. Bref, c’est un divertissement sympathique, mais pas la révolution que l’on attendait nécessairement.