Browsing: science-fiction

Étrange déclinaison télévisuelle que cette première saison de la série Snowpiercer, présentée sur Netflix. Quelque peu brouillonne, dans ses débuts, l’oeuvre trouve rapidement son rythme de croisière, et réserve même quelques petites surprises pour donner envie de voir la suite.

Empruntant autant à Mad Max qu’à Elysium, Le Mur, une bande dessinée post-apocalyptique d’Antoine Charreyron et Mario Alberti, compte définitivement parmi les nouvelles séries de science-fiction les plus emballantes de l’année.

James peut voir l’avenir. Ou s’agit-il de son destin immuable? Confronté à une série d’événements en apparence inaltérables dans Volition, un thriller de science-fiction, notre personnage principal devra tenter de résoudre une énigme mêlant prescience et voyages temporels afin d’assurer sa survie. Ou, du moins, la survie de quelqu’un.

Il y a eu le roman graphique, d’abord. Il y a eu le film, ensuite. Il y a maintenant la série télé: décidément, l’univers de Snowpiercer, une transposition relativement littérale de la lutte des classes se déroulant à bord d’un train circulant constamment dans un monde post-apocalyptique, est suffisamment intriguant pour que les créateurs de contenus continuent de décliner la chose sous diverses formes. Et depuis cette semaine, c’est Netflix qui accueille cette série qui comptera au moins deux saisons.

Bien honnêtement, s’attendait-on vraiment à quelque chose d’autre, dans le cadre du projet Blood Machines? Le space opera mi-punk spatial, mi-film de genre a finalement été rendu disponible, à la fin de la semaine prochaine, sur la plateforme de diffusion de films d’horreur Shudder. L’occasion de voir si cette collaboration attendue depuis belle lurette avec Carpenter Brut, le maître du darksynth, allait porter fruit.

Le temps est venu de boucler la boucle. Avec une septième et dernière saison, sortie sept ans après la première « fin » de la série, l’oeuvre d’animation Clone Wars se termine avec 12 épisodes très largement à la hauteur des attentes… d’autant plus que la « commande » des amateurs était importante. Et que dire de celle de Disney, la maison-mère? 

L’intelligence artificielle et l’autodétermination contre le cadre omniprésent d’une société « améliorée » par le déterminisme social et les décisions d’un petit groupe: la saison 3 de la télésérie de science-fiction Westworld a poursuivi les explorations philosophiques propre à cet univers mêlant androïdes et humains déjantés… mais sans disposer des moyens correspondants à ses ambitions.

Le projet Blood Machines est étrange, c’est le moins que l’on puisse dire. Piloté par Seth Ickerman, celui-là même qui avait réalisé l’éclectique vidéoclip (et le mot est faible!) pour la pièce Turbo Killer de l’artiste synthwave Carpenter Brut, il s’agit d’un film de science-fiction d’une cinquantaine de minutes, dont la bande sonore est justement produite par… Carpenter Brut. En attendant le film, d’ailleurs, cette trame musicale est disponible, et on y découvre un nouvel aspect de l’artiste français.

Nous sommes en l’an 1999, à l’aube du nouveau millénaire. Paraît le diptyque Le naufragé de Memoria, un roman graphique de Jean-Paul Eid et Claude Paiement. Et pour célébrer les 20 ans de l’oeuvre, les éditions La Pastèque ont réédité, il y a quelques mois, ce voyage aux limites du réel.