« Plusieurs de ces décès pourraient être empêchés par un meilleur accès à de la climatisation, à des endroits sécuritaires ou à de l’hydratation, par des travailleurs qui donneraient l’information sur la santé ou par des gens qui garderaient un oeil sur les plus vulnérables. »
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Le ménage canadien moyen a vu ses revenus augmenter de 16 %, entre 1999 et 2022. Mais la proportion du salaire consacrée au logement a bondi de 12 %, alors que les dépenses pour les soins de santé ont explosé de 35,6 %.
Certaines bactéries détectées dans des hôpitaux résistent même à des antibiotiques hyper puissants qui ne sont pas encore disponibles sur le marché.
On pensait que, dans les pays riches, la peur du choléra était reléguée au passé, mais dans les jours qui ont suivi la rupture du barrage de Kakhovka le 6 juin dernier, des experts en santé publique ont tiré la sonnette d’alarme.
Une seule santé s’inscrit déjà à l’ordre du jour d’instances comme le G7, le G20, le Sommet mondial sur la santé et le Sommet des Nations unies sur les systèmes alimentaires.
Les substances utilisées pour remplacer le BPA sont souvent similaires à celui-ci et les scientifiques ne disposent pas d’évaluations complètes des risques pour déterminer si elles sont sécuritaires. Cependant, les informations disponibles suggèrent qu’elles présentent des risques analogues et que la prudence devrait être de rigueur.
Une étude compare 115 bébés nés avant la pandémie avec 115 nés de femmes qui ont eu la COVID pendant qu’elles étaient enceintes. Treize de ces derniers bébés n’avaient pas atteint les seuils de développement prévus entre les âges de 6 et 8 mois, contre aucun des bébés « pré-pandémie »
Ce n’est évidemment pas juste le coronavirus qui est en cause. La grippe et le virus respiratoire syncytial, entre autres, profitent aussi d’airs intérieurs mal ventilés.
La difficulté se trouve notamment du côté de l’accès à l’information, semble-t-il : ainsi, si 79 % des femmes interrogées disent connaître l’existence d’au moins une méthode d’avortement, à peine 52 % d’entre elles sont au fait qu’elles ont accès à la fois à la méthode médicamenteuse et à la méthode chirurgicale.
« Il nous faut transformer nos façons de faire — le groupe de l’ONU sur les désastres insistait d’ailleurs sur des compétences sociétales à développer face aux risques. Il nous faut aussi revoir notre solidarité et réduire les inégalités socioéconomiques. »