L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a décrété, le 14 août, une « urgence de santé publique de portée internationale »: il s’agit du plus haut niveau d’alerte pour une épidémie. Cette mesure de l’OMS permet de débloquer des fonds plus rapidement pour faciliter une coordination internationale.
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Il reste néanmoins difficile de prouver le lien de cause à effet, comme le fait remarquer l’expert néerlandais en épidémiologie de l’environnement Roel Vermeulen: le déclin des chauves-souris ayant entraîné une baisse des revenus des agriculteurs, ce dernier facteur pourrait aussi être pointé du doigt pour une hausse de la mortalité infantile.
En juin dernier, les auteurs ont finalement réussi à publier leur article, dans la revue Forensic Science International. Le 1er août toutefois, celle-ci publiait un avis de rétractation, alléguant notamment une méthodologie « inappropriée », de même que « des erreurs, des représentations trompeuses et un manque d’appui factuel pour les conclusions ».
Plus de la moitié de la population mondiale a des doutes sur la qualité de l’eau offerte par les différents réseaux d’aqueduc. Cela entraîne une consommation importante d’eau en bouteille, mais aussi des dépenses élevées pour éviter de cuisiner à la maison, en plus de favoriser le développement de problèmes de santé mentale.
À ce jour, seulement 10 cas de grippe aviaire chez l’humain ont été détectés aux États-Unis depuis mars dernier. Les experts répètent toutefois depuis des mois que le nombre de cas chez l’humain pourrait être sous-estimé. Des personnes avec des symptômes grippaux, mais qui n’ont pas été testées, pourraient ainsi être passées inaperçues.
Après examen des données, les auteurs des travaux ont estimé que les cyclistes avaient 47% moins de risques de décès, 10% moins de risque de se retrouver à l’hôpital pour quelque raison que ce soit, et 24% moins de risques d’être hospitalisés pour des problèmes cardiovasculaires.
Le fait que ces particules soient peu étudiées vient justement de leur taille, et du haut degré d’incertitude que cela entraîne dès qu’on tente d’estimer la quantité à laquelle une personne est exposée. Mesurer les émissions à la source est en effet possible, mais mesurer l’impact sur la santé est plus difficile.
Un facteur peut même mettre certaines femmes encore plus à risque: le fait qu’elles soient plus susceptibles de souffrir d’une canicule après leurs règles.
En s’en remettant à une technologie pour survivre aux inévitables canicules, l’être humain a souvent oublié à quel point il était vulnérable, en cas de défaillance du réseau électrique.
Par ailleurs, le nombre d’années de vie perdues en raison d’une mauvaise santé et de décès prématurés, et qui sont attribuables à des facteurs de risque métaboliques, ont augmenté de 50% depuis 2000.