Le 3 mai dernier, à la Salle Bourgie du Musée des beaux arts de Montréal, l’Orchestre baroque Arion clôturait sa 38e saison montréalaise. Intitulé Musica notturna, le programme incluait des oeuvres créées sur un horizon de plus d’une centaine d’années, de Biber à Mozart, en passant par Vivaldi, Barsanti et Boccherini. Enrico Onofri était le soliste et chef invité. Armé de son violon, il a encore une fois mené à bon port l’orchestre qui commence à bien le connaître, puisque c’est sa quatrième collaboration avec Arion.
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Lundi dernier, à la Salle Bourgie, avait enfin lieu le concert Tchaïkovski et Tétreault avec l’Orchestre de chambre de McGill, sous la direction de Boris Brott. On aura deviné que le Tétreault du titre c’était Stéphane Tétreault, le violoncelliste québécois dont tout le monde parle, encore. Enfin, parce que le concert a dû être reporté de plusieurs semaines pour permettre au soliste invité de guérir d’une blessure à un doigt.
L’orchestre baroque Arion a une nouvelle amie en la personne d’Amandine Beyer. En effet, pour le troisième concert de la série montréalaise de l’orchestre, Claire Guimond, la directrice artistique a invité la violoniste et professeure française Amandine Beyer qui restera certainement dans la mémoire des habitués d’Arion. La chef invitée Beyer est non seulement sympathique, férue d’histoire de la musique et virtuose, mais elle est avant tout une véritable interprète.
Pour l’ouverture de la nouvelle saison de la Fondation Arte Musica, le 15 septembre, à la Salle Bourgie, les Violons du Roy étaient accompagnés du Quatuor Arthur-LeBlanc, sous la direction du chef Andrei Feher. Le concert s’intitulait Terre des hommes et réunissait des œuvres de différents horizons et de différentes époques.
En ce dimanche après-midi frisquet, c’est à une courte rencontre que Karin Kei Nagano conviait le public montréalais, le 12 mars dernier à la Salle Bourgie, dans le cadre du Festival Montréal en lumière. En effet, en tout et pour tout, l’exécution des œuvres inscrites au programme n’a duré qu’une cinquantaine de minutes.
Dans le cadre de la Série des Premières de l’Ensemble Arion, ces concerts plus courts et sans entracte du jeudi, c’est à une soirée aux effluves français à laquelle était convié le public, ce 16 février, à la Salle Bourgie.
Vendredi dernier, à la Salle Bourgie du Musée des Beaux-Arts de Montréal, avait lieu le concert d’ouverture de la 10e édition du Festival Bach de Montréal. Était servi, en ouverture du festival, un Sergeï Babayan qui aurait très bien pu faire office de plat de résistance tant il a ébloui son public en étalant une palette de nuances plus large encore que ce qu’on aurait pu croire possible avec seulement un piano.
Le premier rendez-vous de la série montréalaise de l’Ensemble Arion se tenait du 29 septembre au 2 octobre, à la Salle Bourgie. Ces représentations inauguraient une nouvelle offre de l’ensemble à son public: des concerts d’une heure sans entracte, en fin de journée, les jeudis.
Mardi soir dernier à la salle Pierre-Mercure avait lieu le dernier spectacle de l’Orchestre de chambre McGill. Dans La Trilogie de la séduction, on nous présentait une mise en scène de la trilogie classique d’opéras de Mozart et Da Ponte : Così fan tutte, Don Giovanni et Le Nozze di Figaro. Une mise en scène chaleureuse, signée Alain Gauthier, nous met dans une ambiance intime permettant de faire ressortir toute la chaleur des voix des chanteurs dans une ambiance extérieure qui prêtait plutôt au verglas de l’âme.